Le ministre de l'Education nationale Xavier Darcos a de nouveau exclu, dimanche soir 18 mai, tout retrait de ses réformes du système scolaire, quelle que soit l'ampleur des manifestations contre la politique éducative du gouvernement.
Xavier Darcos s'exprimait trois jours après la grève unitaire des fonctionnaires et quelques heures après la manifestation qui a rassemblé plusieurs milliers d'enseignants (20.000 selon la police, plus de 45.000 selon les organisateurs) à Paris contre les suppressions de postes et la généralisation du service minimum en cas de grève.
"Quelle que soit la dimension des manifestations et leur aspect rituel, quelle que soit leur importance même, jamais elles ne l'emporteront sur la légitimité démocratique de ce gouvernement qui a reçu mandat de réformer", a-t-il souligné au cours du Grand Rendez-vous Europe-1/TV5Monde/Le Parisien/Aujourd'hui en France.
Ne pas "chercher à mépriser"
Rappelant qu'"il y a quand même 1,2 million de personnes qui travaillent à l'Education nationale, il a souhaité "faire une distinction entre nos personnels, nos enseignants, nos professeurs, tous ceux qui au quotidien sont dans les classes, et l'appareil institutionnel syndical", qu'il a assuré toutefois ne pas "chercher à mépriser"...
Lire la suite dans l'édition du 19 mai 2008 rubrique Social
Source: tempsreel.nouvelobs.com
Xavier Darcos s'exprimait trois jours après la grève unitaire des fonctionnaires et quelques heures après la manifestation qui a rassemblé plusieurs milliers d'enseignants (20.000 selon la police, plus de 45.000 selon les organisateurs) à Paris contre les suppressions de postes et la généralisation du service minimum en cas de grève.
"Quelle que soit la dimension des manifestations et leur aspect rituel, quelle que soit leur importance même, jamais elles ne l'emporteront sur la légitimité démocratique de ce gouvernement qui a reçu mandat de réformer", a-t-il souligné au cours du Grand Rendez-vous Europe-1/TV5Monde/Le Parisien/Aujourd'hui en France.
Ne pas "chercher à mépriser"
Rappelant qu'"il y a quand même 1,2 million de personnes qui travaillent à l'Education nationale, il a souhaité "faire une distinction entre nos personnels, nos enseignants, nos professeurs, tous ceux qui au quotidien sont dans les classes, et l'appareil institutionnel syndical", qu'il a assuré toutefois ne pas "chercher à mépriser"...
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