Selon le HCDH, des enfants ont été exécutés sommairement par les combattants du M23 après leur entrée dans la ville de Bukavu, capitale de la province du Sud-Kivu. Bien qu’il n’y ait pas de chiffres précis sur le nombre total de victimes, des rapports crédibles indiquent que trois garçons ont été tués lors d’une altercation avec des membres du M23. Ces enfants auraient collecté des armes trouvées sur place et auraient refusé de les rendre, ce qui aurait conduit à leur exécution.
La porte-parole du HCDH, Ravina Shamdasani, a décrit la situation à Bukavu comme « très chaotique », avec de nombreuses informations difficiles à confirmer. Elle a souligné que des vidéos circulant sur les réseaux sociaux montrent des scènes de violence, mais leur authenticité reste à vérifier. Le HCDH continue de recueillir des témoignages et des preuves pour documenter ces violations des droits de l’homme.
Outre les exécutions, le HCDH a également signalé des cas de violences sexuelles et sexistes, ainsi que des attaques contre des hôpitaux et des entrepôts humanitaires. Ces actes ont exacerbé la crise humanitaire dans la région, où des milliers de civils sont déjà déplacés et en besoin urgent d’assistance.
Le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, Volker Türk, a exprimé son horreur face aux événements en cours dans les provinces du Sud-Kivu et du Nord-Kivu. Il a appelé à une cessation immédiate des violences et au respect du droit international humanitaire. Türk a également insisté sur la nécessité de reprendre le dialogue entre les parties concernées, afin d’éviter une escalade du conflit qui aurait des conséquences dévastatrices pour les civils.
Le M23, un groupe armé soutenu par des troupes rwandaises, a pris le contrôle de plusieurs villes clés dans l’est de la RDC, dont Goma et Bukavu. Le gouvernement congolais accuse le Rwanda de soutenir ce groupe dans le but de piller les ressources naturelles de la région. Kigali, de son côté, nie toute implication directe et justifie ses actions par la nécessité de protéger les populations tutsies locales.
La situation dans l’est de la RDC reste extrêmement volatile, avec des risques élevés de voir le conflit s’étendre et s’intensifier. Les civils, déjà vulnérables, sont les premières victimes de cette escalade, subissant des violations graves de leurs droits fondamentaux.
La porte-parole du HCDH, Ravina Shamdasani, a décrit la situation à Bukavu comme « très chaotique », avec de nombreuses informations difficiles à confirmer. Elle a souligné que des vidéos circulant sur les réseaux sociaux montrent des scènes de violence, mais leur authenticité reste à vérifier. Le HCDH continue de recueillir des témoignages et des preuves pour documenter ces violations des droits de l’homme.
Outre les exécutions, le HCDH a également signalé des cas de violences sexuelles et sexistes, ainsi que des attaques contre des hôpitaux et des entrepôts humanitaires. Ces actes ont exacerbé la crise humanitaire dans la région, où des milliers de civils sont déjà déplacés et en besoin urgent d’assistance.
Le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, Volker Türk, a exprimé son horreur face aux événements en cours dans les provinces du Sud-Kivu et du Nord-Kivu. Il a appelé à une cessation immédiate des violences et au respect du droit international humanitaire. Türk a également insisté sur la nécessité de reprendre le dialogue entre les parties concernées, afin d’éviter une escalade du conflit qui aurait des conséquences dévastatrices pour les civils.
Le M23, un groupe armé soutenu par des troupes rwandaises, a pris le contrôle de plusieurs villes clés dans l’est de la RDC, dont Goma et Bukavu. Le gouvernement congolais accuse le Rwanda de soutenir ce groupe dans le but de piller les ressources naturelles de la région. Kigali, de son côté, nie toute implication directe et justifie ses actions par la nécessité de protéger les populations tutsies locales.
La situation dans l’est de la RDC reste extrêmement volatile, avec des risques élevés de voir le conflit s’étendre et s’intensifier. Les civils, déjà vulnérables, sont les premières victimes de cette escalade, subissant des violations graves de leurs droits fondamentaux.