Utilisant des souris sélectionnées en fonction de leur niveau d'activité, l'équipe aurait identifié une vingtaine de sites génomiques qui influenceraient le niveau d'activité des animaux.
L'identification de telles zones génétiques était une première et J.T. Lightfoot pensait que des zones analogues pouvaient exister chez l'Homme. Une nouvelle étude, menée sur des hommes et des femmes, devait donc bientôt être conduite.
Les résultats de la première étude étaient parus dans le dernier numéro du Journal of Heredity (https://academic.oup.com/jhered), un titre de presse spécialisée consacré à la génétique.
Source:Yahoo news
L'identification de telles zones génétiques était une première et J.T. Lightfoot pensait que des zones analogues pouvaient exister chez l'Homme. Une nouvelle étude, menée sur des hommes et des femmes, devait donc bientôt être conduite.
Les résultats de la première étude étaient parus dans le dernier numéro du Journal of Heredity (https://academic.oup.com/jhered), un titre de presse spécialisée consacré à la génétique.
Source:Yahoo news
A lire également:
-
Thèse et anti-thèse sur l'efficacité des compléments alimentaire
-
Les nouveaux archétypes de dictature
-
Des objets qui vont amélioront votres vie et celle de votre amis à quatre pattes
-
Quelle est la différence entre antisémisime et antisionisme?
-
L'homophobie et le machisme en France : etat des lieux et défis