La photo de Kfir Bibas, un bébé souriant, avait marqué les esprits et était devenue l’une des images les plus emblématiques des otages israéliens. Shiri Bibas, âgée de 33 ans, et ses deux enfants avaient été capturés lors de l’attaque du Hamas sur le kibboutz de Nir Oz, situé près de la frontière gazaouie. Ce jour-là, le village avait subi de lourdes pertes, avec une trentaine de morts et plus de 70 otages.
Bien que le Hamas ait affirmé que Shiri et ses deux fils étaient décédés en captivité, la famille Bibas a exprimé son scepticisme face à ces déclarations. Dans un communiqué publié mardi après-midi, la famille a indiqué qu’elle n’avait reçu aucune preuve tangible de leur mort. « Nous avons été bouleversés par l’annonce du Hamas concernant le retour prévu de nos chers Shiri, Ariel et Kfir ce jeudi », a-t-elle déclaré. « Tant que nous n’aurons pas de confirmation irréfutable, notre combat continuera », a-t-elle ajouté.
Le bureau du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a confirmé qu’un accord avait été conclu avec le Hamas pour le rapatriement de quatre corps ce jeudi, sans toutefois préciser leur identité. Quatre autres corps devraient être restitués la semaine prochaine. Par ailleurs, le Hamas a accepté de libérer six otages vivants ce samedi, au lieu des trois initialement prévus.
La famille Bibas figurait parmi les 33 otages devant être libérés dans le cadre de l’accord de trêve conclu entre Israël et le Hamas le 19 janvier. Cependant, leur absence lors des premiers échanges avait suscité de vives inquiétudes. En novembre 2023, le Hamas avait annoncé que Shiri et ses deux fils avaient été tués lors d’une frappe israélienne, une information que l’armée israélienne n’a jamais confirmée.
Selon des analyses récentes, le gouvernement israélien n’aurait pas exercé de pression significative pour obtenir la libération de la famille Bibas lors des premiers jours de la trêve. Contrairement à d’autres otages, dont la libération avait été priorisée, la famille Bibas semblait avoir été reléguée au second plan. Cette attitude a alimenté les spéculations selon lesquelles les autorités israéliennes considéraient déjà que les membres de la famille n’étaient plus en vie.
Les discussions sur la deuxième phase de la trêve entre Israël et le Hamas devraient reprendre cette semaine. Ces négociations visent à établir les conditions de la prochaine étape du cessez-le-feu, qui doit débuter le 2 mars. Le ministre des Affaires étrangères israélien, Gideon Saar, a réaffirmé que son pays n’accepterait pas la présence persistante du Hamas ou de tout autre groupe terroriste dans l’enclave palestinienne.
Bien que le Hamas ait affirmé que Shiri et ses deux fils étaient décédés en captivité, la famille Bibas a exprimé son scepticisme face à ces déclarations. Dans un communiqué publié mardi après-midi, la famille a indiqué qu’elle n’avait reçu aucune preuve tangible de leur mort. « Nous avons été bouleversés par l’annonce du Hamas concernant le retour prévu de nos chers Shiri, Ariel et Kfir ce jeudi », a-t-elle déclaré. « Tant que nous n’aurons pas de confirmation irréfutable, notre combat continuera », a-t-elle ajouté.
Le bureau du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a confirmé qu’un accord avait été conclu avec le Hamas pour le rapatriement de quatre corps ce jeudi, sans toutefois préciser leur identité. Quatre autres corps devraient être restitués la semaine prochaine. Par ailleurs, le Hamas a accepté de libérer six otages vivants ce samedi, au lieu des trois initialement prévus.
La famille Bibas figurait parmi les 33 otages devant être libérés dans le cadre de l’accord de trêve conclu entre Israël et le Hamas le 19 janvier. Cependant, leur absence lors des premiers échanges avait suscité de vives inquiétudes. En novembre 2023, le Hamas avait annoncé que Shiri et ses deux fils avaient été tués lors d’une frappe israélienne, une information que l’armée israélienne n’a jamais confirmée.
Selon des analyses récentes, le gouvernement israélien n’aurait pas exercé de pression significative pour obtenir la libération de la famille Bibas lors des premiers jours de la trêve. Contrairement à d’autres otages, dont la libération avait été priorisée, la famille Bibas semblait avoir été reléguée au second plan. Cette attitude a alimenté les spéculations selon lesquelles les autorités israéliennes considéraient déjà que les membres de la famille n’étaient plus en vie.
Les discussions sur la deuxième phase de la trêve entre Israël et le Hamas devraient reprendre cette semaine. Ces négociations visent à établir les conditions de la prochaine étape du cessez-le-feu, qui doit débuter le 2 mars. Le ministre des Affaires étrangères israélien, Gideon Saar, a réaffirmé que son pays n’accepterait pas la présence persistante du Hamas ou de tout autre groupe terroriste dans l’enclave palestinienne.