Interrogé sur France-Inter après la propos de Nicolas Sarkozy à Cahors, le ministre a reconnu que le RSA était "une bonne idée" mais a assuré: "Il faut que tout ça soit dans un environnement budgétaire compatible avec nos finances publiques. C'est ce type de réforme qui doit se faire à volume de crédit constant."
Refusant de donner un chiffre précis pour le budget du RSA, Eric Woerth a fait valoir qu'il revenait "au président et au Premier ministre in fine d'arbitrer", même si du fait de l'expérimentation en cours, il n'était pas exclu "de changer de méthode".
Interrogé si le RSA n'était pas remis en cause définitivement, le ministre s'est défendu: "C'est une priorité. (...) Il y a une volonté de généralisation, il y a aussi une volonté que cette généralisation soit financé au déficit compatible", a-t-il répété.
"On ne rogne rien du tout", a assuré le ministre du Budget, après avoir souligné que la France était, avec la Suède, un des pays qui consacraient un "volume de crédit très important(...) dans le domaine des prestations sociales". "Même la Suède a diminué les dépenses de cette nature. Ce n'est pas ce que je demande, mais je demande qu'on ne les augmente pas", a-t-il ajouté.
"On doit inciter au travail et en même temps ne pas charger la dépense publique. (...) Trop de dépenses publiques, c'est moins de croissance", a-t-il justifié.
Mardi Nicolas Sarkozy avait prévenu que le RSA devrait être "calibré en fonction des disponibilités financières qui sont les nôtres", tout en réaffirmant son intention de réaliser cette réforme. Le haut commissaire aux Solidarités actives Martin Hirsch prévient dans "Le Pèlerin" de jeudi qu'il ne "fera pas au rabais" son projet de RSA.
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Refusant de donner un chiffre précis pour le budget du RSA, Eric Woerth a fait valoir qu'il revenait "au président et au Premier ministre in fine d'arbitrer", même si du fait de l'expérimentation en cours, il n'était pas exclu "de changer de méthode".
Interrogé si le RSA n'était pas remis en cause définitivement, le ministre s'est défendu: "C'est une priorité. (...) Il y a une volonté de généralisation, il y a aussi une volonté que cette généralisation soit financé au déficit compatible", a-t-il répété.
"On ne rogne rien du tout", a assuré le ministre du Budget, après avoir souligné que la France était, avec la Suède, un des pays qui consacraient un "volume de crédit très important(...) dans le domaine des prestations sociales". "Même la Suède a diminué les dépenses de cette nature. Ce n'est pas ce que je demande, mais je demande qu'on ne les augmente pas", a-t-il ajouté.
"On doit inciter au travail et en même temps ne pas charger la dépense publique. (...) Trop de dépenses publiques, c'est moins de croissance", a-t-il justifié.
Mardi Nicolas Sarkozy avait prévenu que le RSA devrait être "calibré en fonction des disponibilités financières qui sont les nôtres", tout en réaffirmant son intention de réaliser cette réforme. Le haut commissaire aux Solidarités actives Martin Hirsch prévient dans "Le Pèlerin" de jeudi qu'il ne "fera pas au rabais" son projet de RSA.
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