Le ministre américain à la Sécurité nationale Michael Chertoff a annoncé que les ressortissants de 27 pays bénéficiant actuellement d'un système d'exemption de visas devront, à compter de janvier, déposer une demande d'autorisation de voyage préalable via l'internet.
La nouvelle mesure, qui figure parmi les recommandations de la commission du 11 Septembre, vise à rendre plus difficile l'accès aux Etats-Unis pour des terroristes potentiels depuis des pays comme la France, l'Allemagne, la Suisse, la Grande-Bretagne, la Belgique, le Portugal, l'Espagne, Singapour, la Nouvelle-Zélande, le Japon et l'Australie.
"Plutôt que de compter sur des procédures basées sur des feuilles de papier, ce système utilisera les moyens électroniques du 21e siècle pour obtenir des informations de base sur ceux qui voyagent aux Etats-Unis sans visa", a déclaré M. Chertoff, dans un communiqué.
"Obtenir ces renseignements en avance permet à nos agents de déterminer si le voyageur sans visa représente une menace, avant d'embarquer dans un avion ou d'arriver sur nos côtes. C'est un moyen relativement simple et efficace de renforcer notre sécurité et celle des voyageurs internationaux, tout en contribuant à préserver un important programme pour nos alliés clés".
Les ressortissants d'une trentaine de pays n'ont pas besoin de visa pour faire du tourisme aux Etats-unis, dont la plupart des pays européens, l'Australie, le Japon, Singapour et le sultanat de Bruneï.
Les nouvelles règles, applicables en janvier, requièrent que ces ressortissants déposent une demande d'autorisation de voyage sur l'internet, au moins 72 heures avant le départ.
Ils devront être dotés de cette autorisation de voyage électronique avant d'embarquer sur un avion ou de monter à bord d'un bateau. Cette autorisation sera valable pour une durée de deux ans ou jusqu'à l'expiration du passeport. Le système sera en place à partir d'août mais obligatoire seulement à partir de janvier.
Les postulants au voyage, qu'il s'agisse de tourisme ou d'affaires, devront fournir préalablement les mêmes éléments biographiques et renseignements sur le voyage qu'ils donnent habituellement sur un formulaire rempli à bord de l'avion et remis aux douanes à leur arrivée aux Etats-Unis, selon le communiqué du ministère.
Parmi ces renseignements, figurent le numéro de passeport, le pays de résidence, d'éventuelles maladies contagieuses ou l'implication dans des activités terroristes, a précisé à l'AFP un responsable du ministère.
Les agents américains pourront alors déterminer "presque immédiatement dans de nombreux cas" si le candidat est éligible pour entrer sur le territoire américain ou si le voyage pose "un quelconque risque pour la sécurité ou le maintien de l'ordre", poursuit le communiqué.
M. Chertoff avait souligné en janvier que les Etats-Unis craignaient que l'Europe ne devienne une "plate-forme" de menace terroriste contre eux.
Source: yahoo news
La nouvelle mesure, qui figure parmi les recommandations de la commission du 11 Septembre, vise à rendre plus difficile l'accès aux Etats-Unis pour des terroristes potentiels depuis des pays comme la France, l'Allemagne, la Suisse, la Grande-Bretagne, la Belgique, le Portugal, l'Espagne, Singapour, la Nouvelle-Zélande, le Japon et l'Australie.
"Plutôt que de compter sur des procédures basées sur des feuilles de papier, ce système utilisera les moyens électroniques du 21e siècle pour obtenir des informations de base sur ceux qui voyagent aux Etats-Unis sans visa", a déclaré M. Chertoff, dans un communiqué.
"Obtenir ces renseignements en avance permet à nos agents de déterminer si le voyageur sans visa représente une menace, avant d'embarquer dans un avion ou d'arriver sur nos côtes. C'est un moyen relativement simple et efficace de renforcer notre sécurité et celle des voyageurs internationaux, tout en contribuant à préserver un important programme pour nos alliés clés".
Les ressortissants d'une trentaine de pays n'ont pas besoin de visa pour faire du tourisme aux Etats-unis, dont la plupart des pays européens, l'Australie, le Japon, Singapour et le sultanat de Bruneï.
Les nouvelles règles, applicables en janvier, requièrent que ces ressortissants déposent une demande d'autorisation de voyage sur l'internet, au moins 72 heures avant le départ.
Ils devront être dotés de cette autorisation de voyage électronique avant d'embarquer sur un avion ou de monter à bord d'un bateau. Cette autorisation sera valable pour une durée de deux ans ou jusqu'à l'expiration du passeport. Le système sera en place à partir d'août mais obligatoire seulement à partir de janvier.
Les postulants au voyage, qu'il s'agisse de tourisme ou d'affaires, devront fournir préalablement les mêmes éléments biographiques et renseignements sur le voyage qu'ils donnent habituellement sur un formulaire rempli à bord de l'avion et remis aux douanes à leur arrivée aux Etats-Unis, selon le communiqué du ministère.
Parmi ces renseignements, figurent le numéro de passeport, le pays de résidence, d'éventuelles maladies contagieuses ou l'implication dans des activités terroristes, a précisé à l'AFP un responsable du ministère.
Les agents américains pourront alors déterminer "presque immédiatement dans de nombreux cas" si le candidat est éligible pour entrer sur le territoire américain ou si le voyage pose "un quelconque risque pour la sécurité ou le maintien de l'ordre", poursuit le communiqué.
M. Chertoff avait souligné en janvier que les Etats-Unis craignaient que l'Europe ne devienne une "plate-forme" de menace terroriste contre eux.
Source: yahoo news
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