"Sur l'ensemble de l'opération, on a une vingtaine de Français qui ont été blessés. Huit ont été évacués vers l'hôpital de Plana (Kosovo), douze ont été soignés sur place à l'issue de l'action", a indiqué à l'AFP le commandant Christophe Prazuck, porte-parole de l'état-major des armées (EMA) à Paris.
Leur vie "n'est pas en danger", a précisé l'officier.
"Un policier ukrainien est mort lundi soir des blessures reçues lors des manifestations violentes dans le nord de Kosovska Mitrovica", a par ailleurs indiqué le porte-parole de la police kosovare Veton Elsani.
Les violences ont suivi une opération de police pour déloger des Serbes qui occupaient depuis vendredi deux tribunaux de l'ONU, réclamant d'être placés sous l'autorité de l'Etat serbe. Selon l'Otan, 25 policiers de l'ONU, huit soldats de la force de l'Otan (Kfor) et 80 Serbes ont été blessés.
C'est la première fois depuis la déclaration d'indépendance du Kosovo le 17 février, rejetée notamment par Belgrade et Moscou, que des membres des forces internationales au Kosovo subissent des tirs.
Selon le commandant Prazuck, "les affrontements ont commencé avec des jets de pierres et de cocktails Molotov", puis "des lancers de grenade et des tirs d'armes". "Les éléments français, la Kfor et la police de la Minuk (mission de l'Onu au Kosovo) ont riposté à chaque fois, à niveau", a précisé l'officier, ce qui veut dire que les militaires français ont ouvert le feu.
Sur le déroulement des événements, "lundi à 05H00, la police de l'Onu a investi le tribunal de Mitrovica-Nord", avec "en deuxième rideau l'appui de la Kfor". "Rapidement des manifestants sont arrivés autour du tribunal. Il semble qu'à un moment des éléments plus violents, plus radicaux, se soient joints à la manifestation et ont lancé des grenades et tiré avec des armes", a-t-il indiqué.
Selon le commandant Prazuck, "la Kfor a fait renforcer son dispositif à Mitrovica et en particulier autour du tribunal".
Quelque 2.000 militaires français sont déployés au Kosovo, "dont 1.800 dans la task force multinationale nord".
yahoo.com
Leur vie "n'est pas en danger", a précisé l'officier.
"Un policier ukrainien est mort lundi soir des blessures reçues lors des manifestations violentes dans le nord de Kosovska Mitrovica", a par ailleurs indiqué le porte-parole de la police kosovare Veton Elsani.
Les violences ont suivi une opération de police pour déloger des Serbes qui occupaient depuis vendredi deux tribunaux de l'ONU, réclamant d'être placés sous l'autorité de l'Etat serbe. Selon l'Otan, 25 policiers de l'ONU, huit soldats de la force de l'Otan (Kfor) et 80 Serbes ont été blessés.
C'est la première fois depuis la déclaration d'indépendance du Kosovo le 17 février, rejetée notamment par Belgrade et Moscou, que des membres des forces internationales au Kosovo subissent des tirs.
Selon le commandant Prazuck, "les affrontements ont commencé avec des jets de pierres et de cocktails Molotov", puis "des lancers de grenade et des tirs d'armes". "Les éléments français, la Kfor et la police de la Minuk (mission de l'Onu au Kosovo) ont riposté à chaque fois, à niveau", a précisé l'officier, ce qui veut dire que les militaires français ont ouvert le feu.
Sur le déroulement des événements, "lundi à 05H00, la police de l'Onu a investi le tribunal de Mitrovica-Nord", avec "en deuxième rideau l'appui de la Kfor". "Rapidement des manifestants sont arrivés autour du tribunal. Il semble qu'à un moment des éléments plus violents, plus radicaux, se soient joints à la manifestation et ont lancé des grenades et tiré avec des armes", a-t-il indiqué.
Selon le commandant Prazuck, "la Kfor a fait renforcer son dispositif à Mitrovica et en particulier autour du tribunal".
Quelque 2.000 militaires français sont déployés au Kosovo, "dont 1.800 dans la task force multinationale nord".
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