Atteints par des éclats de grenades lors d'affrontements avec la population serbe, ces onze soldats étaient "parfaitement conscients", leur état de santé n'inspirant pas d'inquiétude même s'il y aura "plusieurs mois de convalescence pour certains", a indiqué M. Morin devant la presse.
Le ministre de la Défense a dénoncé les "extrémistes serbes qui se sont livrés à ces exactions totalement inacceptables et qui doivent être condamnés", affirmant qu'ils cherchaient à "déstabiliser la région et notamment le nord du Kosovo". "Il s'agit d'une action isolée d'extrémistes serbes qui ont voulu créer une situation de crise", a-t-il affirmé, assurant que "rien ne pourra plus arrêter le cheminement historique" de l'indépendance du Kosovo.
Issus du 35e Régiment d'infanterie de Belfort, les onze soldats devaient être transférés dans les hôpitaux militaires Bégin, Percy et du Val-de-Grâce, à Paris et dans sa proche banlieue. Certains ont déjà subi des interventions chirurgicales. Leur évacuation sanitaire a été effectuée à bord d'un Module médicalisé Morphée, un nouveau dispositif opérationnel depuis l'été 2006, glissé dans la carlingue d'un Boeing ravitailleur en vol C 135.
L'appareil s'est immobilisé sur le tarmac d'Orly, devant le pavillon d'honneur de l'aéroport où l'attendaient, outre le ministre de la Défense, le chef d'état-major des armées, le général Jean-Louis Georgelin, et le chef d'état-major de l'armée de terre, le général Bruno Cuche.
Les blessés ont été ensuite prise en charge par des ambulances militaires et des sapeurs-pompiers de Paris. Une vingtaine de soldats français ont été blessés dans les affrontements de Mitrovica, avait indiqué lundi l'état-major des armées à Paris.
Les violences ont suivi une opération de police pour déloger des Serbes qui occupaient depuis vendredi deux tribunaux de l'ONU, réclamant d'être placés sous l'autorité de l'Etat serbe.
Il s'agissait du premier incident depuis la déclaration d'indépendance du Kosovo le 17 février, rejetée notamment par Belgrade et Moscou, au cours duquel des membres des forces internationales au Kosovo ont essuyé des tirs. Quelque 2.000 militaires français sont déployés au Kosovo, dont 1.800 dans la "task force multinationale nord". La force de l'Otan au Kosovo (KFOR) est commandée depuis septembre 2007 par le général français Xavier Bout de Marnhac.
yahoo.com
Le ministre de la Défense a dénoncé les "extrémistes serbes qui se sont livrés à ces exactions totalement inacceptables et qui doivent être condamnés", affirmant qu'ils cherchaient à "déstabiliser la région et notamment le nord du Kosovo". "Il s'agit d'une action isolée d'extrémistes serbes qui ont voulu créer une situation de crise", a-t-il affirmé, assurant que "rien ne pourra plus arrêter le cheminement historique" de l'indépendance du Kosovo.
Issus du 35e Régiment d'infanterie de Belfort, les onze soldats devaient être transférés dans les hôpitaux militaires Bégin, Percy et du Val-de-Grâce, à Paris et dans sa proche banlieue. Certains ont déjà subi des interventions chirurgicales. Leur évacuation sanitaire a été effectuée à bord d'un Module médicalisé Morphée, un nouveau dispositif opérationnel depuis l'été 2006, glissé dans la carlingue d'un Boeing ravitailleur en vol C 135.
L'appareil s'est immobilisé sur le tarmac d'Orly, devant le pavillon d'honneur de l'aéroport où l'attendaient, outre le ministre de la Défense, le chef d'état-major des armées, le général Jean-Louis Georgelin, et le chef d'état-major de l'armée de terre, le général Bruno Cuche.
Les blessés ont été ensuite prise en charge par des ambulances militaires et des sapeurs-pompiers de Paris. Une vingtaine de soldats français ont été blessés dans les affrontements de Mitrovica, avait indiqué lundi l'état-major des armées à Paris.
Les violences ont suivi une opération de police pour déloger des Serbes qui occupaient depuis vendredi deux tribunaux de l'ONU, réclamant d'être placés sous l'autorité de l'Etat serbe.
Il s'agissait du premier incident depuis la déclaration d'indépendance du Kosovo le 17 février, rejetée notamment par Belgrade et Moscou, au cours duquel des membres des forces internationales au Kosovo ont essuyé des tirs. Quelque 2.000 militaires français sont déployés au Kosovo, dont 1.800 dans la "task force multinationale nord". La force de l'Otan au Kosovo (KFOR) est commandée depuis septembre 2007 par le général français Xavier Bout de Marnhac.
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