Depuis ce lundi, à 00H01, la quasi-totalité des journalistes du service français de l'Associated Press observe une grève de 24 heures", selon un communiqué de l'intersyndicale (SNJ, CFDT, CGT, FO).
Ce mouvement a provoqué "l'interruption de la diffusion du fil français entre minuit et 06H04" et devait entraîner la même situation dans l'après-midi et la soirée, poursuivent les syndicats.
Interrogé par l'AFP, le directeur général d'AP France, Pierre-Yves Glass, a déclaré que le mouvement de grève "n'était pas entièrement suivi" et que le fil était "assez garni ce matin".
"Je ne doute pas que la plupart des rédacteurs soient en grève", a-t-il cependant ajouté, sans être en mesure de fournir de chiffres.
Ce mouvement, voté vendredi en assemblée générale, fait suite au projet de reprise du service français d'AP déposé par l'ancien Pdg de l'AFP Bertrand Eveno (60%) et l'homme d'affaires Vincent Bolloré (40%).
L'intersyndicale estime que la direction "tente d'imposer" un plan de cession "en accéléré, au mépris de tout dialogue social".
"Incapable de présenter une information complète, loyale et sincère, elle cherche à passer en force au comité d'entreprise, à coups de mauvaise foi et de manoeuvres dilatoires", estiment les syndicats.
Ce mouvement a provoqué "l'interruption de la diffusion du fil français entre minuit et 06H04" et devait entraîner la même situation dans l'après-midi et la soirée, poursuivent les syndicats.
Interrogé par l'AFP, le directeur général d'AP France, Pierre-Yves Glass, a déclaré que le mouvement de grève "n'était pas entièrement suivi" et que le fil était "assez garni ce matin".
"Je ne doute pas que la plupart des rédacteurs soient en grève", a-t-il cependant ajouté, sans être en mesure de fournir de chiffres.
Ce mouvement, voté vendredi en assemblée générale, fait suite au projet de reprise du service français d'AP déposé par l'ancien Pdg de l'AFP Bertrand Eveno (60%) et l'homme d'affaires Vincent Bolloré (40%).
L'intersyndicale estime que la direction "tente d'imposer" un plan de cession "en accéléré, au mépris de tout dialogue social".
"Incapable de présenter une information complète, loyale et sincère, elle cherche à passer en force au comité d'entreprise, à coups de mauvaise foi et de manoeuvres dilatoires", estiment les syndicats.