"Il a marqué ainsi le travail législatif, quand il était président de la Commission des lois, de 1981 à 1985. Homme de conviction, Raymond Forni était très respecté."
Roger Karoutchi, secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement:
"D'origine italienne, naturalisé à 17ans, il devient Président de l'Assemblée Nationale française à 59 ans, incarnant ainsi l'intégration républicaine qu'il défendait avec force.
"Il laisse le souvenir d'un républicain intransigeant, qui pendant ses 20 années de mandats parlementaires, a été rapporteur du projet de loi abolissant la peine de mort, a défendu une conception rigoureuse de l'indépendance nationale, du rôle de l'Etat ce qui n'excluait pas son attachement, du fait de ses mandats en Franche-Comté, au développement des collectivités locales."
Jean-Marc Ayrault, député-maire de Nantes, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale
"Cet +enfant de la République+, comme il se décrivait si bien, a été un exemple de mérite, de rectitude et d'engagement. (...) Un magnifique caractère qui alliait l'indépendance d'esprit à la force des convictions. Il avait le charme et la chaleur mais aussi l'orgueil de ces hommes qui se sont construits dans l'épreuve. "Raymond Forni restera pour moi et pour tous les députés socialistes une belle figure de la République."
Jean-Paul Huchon, président (PS) de la Région Ile de France
"Le socialisme français est aujourd'hui en deuil d'un de ses plus remarquables représentants.
"Il était de ces grands militants socialistes qui font d'un combat politique la raison d'une vie. Grand juriste, passionné des questions constitutionnelles, et défenseur inlassable des libertés publiques, il a marqué de sa grandeur la présidence de l'Assemblée Nationale où les Français ont appris à mieux le connaître et à apprécier la mesure de ses propos, l'homme de convictions et de détermination qu'il était."
Bertrand Delanoë, maire PS de Paris:
"Homme de convictions et de proximité, il incarne aussi le parlementaire compétent et investi, rapporteur en 1981 de la loi sur l'abolition de la peine de mort et président unanimement apprécié de l'Assemblée nationale de 2000 à 2002."
Edicom.ch
Roger Karoutchi, secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement:
"D'origine italienne, naturalisé à 17ans, il devient Président de l'Assemblée Nationale française à 59 ans, incarnant ainsi l'intégration républicaine qu'il défendait avec force.
"Il laisse le souvenir d'un républicain intransigeant, qui pendant ses 20 années de mandats parlementaires, a été rapporteur du projet de loi abolissant la peine de mort, a défendu une conception rigoureuse de l'indépendance nationale, du rôle de l'Etat ce qui n'excluait pas son attachement, du fait de ses mandats en Franche-Comté, au développement des collectivités locales."
Jean-Marc Ayrault, député-maire de Nantes, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale
"Cet +enfant de la République+, comme il se décrivait si bien, a été un exemple de mérite, de rectitude et d'engagement. (...) Un magnifique caractère qui alliait l'indépendance d'esprit à la force des convictions. Il avait le charme et la chaleur mais aussi l'orgueil de ces hommes qui se sont construits dans l'épreuve. "Raymond Forni restera pour moi et pour tous les députés socialistes une belle figure de la République."
Jean-Paul Huchon, président (PS) de la Région Ile de France
"Le socialisme français est aujourd'hui en deuil d'un de ses plus remarquables représentants.
"Il était de ces grands militants socialistes qui font d'un combat politique la raison d'une vie. Grand juriste, passionné des questions constitutionnelles, et défenseur inlassable des libertés publiques, il a marqué de sa grandeur la présidence de l'Assemblée Nationale où les Français ont appris à mieux le connaître et à apprécier la mesure de ses propos, l'homme de convictions et de détermination qu'il était."
Bertrand Delanoë, maire PS de Paris:
"Homme de convictions et de proximité, il incarne aussi le parlementaire compétent et investi, rapporteur en 1981 de la loi sur l'abolition de la peine de mort et président unanimement apprécié de l'Assemblée nationale de 2000 à 2002."
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