Sur le mois de novembre, les cours auront sans doute perdu plus de 20%.
Vers 15h30 GMT, le contrat janvier sur le brut léger américain perdait environ deux dollars, soit 3,7%, à 52,42 dollars le baril et le Brent cédait 1,9% ou 1 dollar à 52,12 dollars.
"Nous attendons l'Opep. Certains pays membres font pression en faveur d'une réduction (de la production) mais cela n'est pas acceptable pour les pays consommateurs. Il est trop tôt pour voir si le sentiment économique est en train de virer", résume Tetsu Emori, gérant de fonds chez Astmax Co.
Plusieurs délégués de l'Opep ont laissé entendre qu'une décision sur les niveaux de production n'interviendrait pas avant la réunion ministérielle plénière du cartel fixée au 17 décembre à Oran, en Algérie.
L'Opep a déjà réduit de deux millions de barils sa production journalière, soit l'équivalent de 7,3% de sa production, lors de ses deux dernières réunions en septembre et octobre.
"En théorie, si l'offre est réduite, les prix devraient monter, mais le problème est de savoir quel est le niveau de la demande", souligne Adrian Pankiw, chez Henderson Global Investors.
"La question est : est-ce que l'Opep réduit son offre plus vite que la demande ne baisse?", ajoute-t-il.
Les fondamentaux du marché pétrolier restent faibles avec un ralentissement marqué de la demande aux Etats-Unis, où la demande est tombée en septembre à son niveau le plus faible depuis dix ans.
La demande mondiale devrait légèrement baisser cette année et l'an prochain, ce qui serait la première diminution en une génération, selon une enquête Reuters menée auprès de spécialistes.
Source: Yahoo News
Vers 15h30 GMT, le contrat janvier sur le brut léger américain perdait environ deux dollars, soit 3,7%, à 52,42 dollars le baril et le Brent cédait 1,9% ou 1 dollar à 52,12 dollars.
"Nous attendons l'Opep. Certains pays membres font pression en faveur d'une réduction (de la production) mais cela n'est pas acceptable pour les pays consommateurs. Il est trop tôt pour voir si le sentiment économique est en train de virer", résume Tetsu Emori, gérant de fonds chez Astmax Co.
Plusieurs délégués de l'Opep ont laissé entendre qu'une décision sur les niveaux de production n'interviendrait pas avant la réunion ministérielle plénière du cartel fixée au 17 décembre à Oran, en Algérie.
L'Opep a déjà réduit de deux millions de barils sa production journalière, soit l'équivalent de 7,3% de sa production, lors de ses deux dernières réunions en septembre et octobre.
"En théorie, si l'offre est réduite, les prix devraient monter, mais le problème est de savoir quel est le niveau de la demande", souligne Adrian Pankiw, chez Henderson Global Investors.
"La question est : est-ce que l'Opep réduit son offre plus vite que la demande ne baisse?", ajoute-t-il.
Les fondamentaux du marché pétrolier restent faibles avec un ralentissement marqué de la demande aux Etats-Unis, où la demande est tombée en septembre à son niveau le plus faible depuis dix ans.
La demande mondiale devrait légèrement baisser cette année et l'an prochain, ce qui serait la première diminution en une génération, selon une enquête Reuters menée auprès de spécialistes.
Source: Yahoo News