Ces deux provinces de l'Amazonie, le Beni et le Pando, ont voté à 80% pour ces mesures d'autonomie, selon un décompte préliminaire rendu public dimanche soir.
La politique en faveur de la minorité indienne menée par Evo Morales a braqué une partie de la population, en particulier dans l'est du pays, alimentant de vieilles rancoeurs contre le gouvernement central de La Paz.
Des affrontements sporadiques ont éclaté entre les pro-autonomie et les partisans d'Evo Morales dans la capitale de l'Etat de Beni, Trinidad, faisant au moins huit blessés selon les médias locaux.
"Nous demandons au pays et au monde de respecter notre volonté souveraine d'être autonome", a déclaré le gouverneur de Beni Ernesto Suarez. "Demain, nous pourrons suivre notre propre chemin, notre propre direction, notre propre développement", a-t-il ajouté devant ses partisans.
Les provinces rurales de Beni et Pando, parmi les plus pauvres du pays, ont rejoint la fronde autonomiste, suivies par deux autres régions (Santa Cruz et Tarija) qui ont organisé des référendums similaires.
Evo Morales a qualifié ces référendums d'illégaux, organisés par l'opposition conservatrice pour tenter de déstabiliser son gouvernement.
"Ce n'est pas un problème d'autonomie", a-t-il estimé. "Le problème est qu'ils ne peuvent pas accepter qu'un Indien de la campagne soit leur président".
Source: yahoo news
La politique en faveur de la minorité indienne menée par Evo Morales a braqué une partie de la population, en particulier dans l'est du pays, alimentant de vieilles rancoeurs contre le gouvernement central de La Paz.
Des affrontements sporadiques ont éclaté entre les pro-autonomie et les partisans d'Evo Morales dans la capitale de l'Etat de Beni, Trinidad, faisant au moins huit blessés selon les médias locaux.
"Nous demandons au pays et au monde de respecter notre volonté souveraine d'être autonome", a déclaré le gouverneur de Beni Ernesto Suarez. "Demain, nous pourrons suivre notre propre chemin, notre propre direction, notre propre développement", a-t-il ajouté devant ses partisans.
Les provinces rurales de Beni et Pando, parmi les plus pauvres du pays, ont rejoint la fronde autonomiste, suivies par deux autres régions (Santa Cruz et Tarija) qui ont organisé des référendums similaires.
Evo Morales a qualifié ces référendums d'illégaux, organisés par l'opposition conservatrice pour tenter de déstabiliser son gouvernement.
"Ce n'est pas un problème d'autonomie", a-t-il estimé. "Le problème est qu'ils ne peuvent pas accepter qu'un Indien de la campagne soit leur président".
Source: yahoo news
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