Les origines du Cane Corso, comme celles du Mâtin Napolitain, sont très anciennes. Ces deux races à part entière ont sans doute un ancêtre commun, le molosse romain, qui pourrait avoir donné deux types:
- un lourd, duquel descendrait l'actuel Mâtin Napolitain.
- un autre plus léger et agile, serait l'ancêtre du Cane Corso.
Cette théorie se réfère aux différents bas reliefs ou peintures des périodes étrusque et romaine.
Le mot "corso" apparaît dès les premières années du XVème siècle. Ce terme est rapporté par Téofilo Folengo (1491-1527) - Canes inter seu corsos sive molossus - Niccolo Machiavelli (1469-1527) emploie le terme Cane Corso dans un poème intitulé "L'âne" : "… et un Cane Corso aboyer à la lune".
Le Suisse Konrad Von Gesner (1516-1565) dans son "Historia animalian" parle largement du Cane Corso. Tito Giavani Scandino dans son "Poème de la Chasse" (1556) décrit aussi le Cane Corso.
Cette brève histoire est un témoignage poétique, œuvre de ERASNO di VALVASON (1523-1593) dans son poème "La Chasse" (1591) dans lequel il le désigne par le terme Corso ou Mâtin. Voici la description qu'il en donne:
"Qu'il soit droit et rapide comme le lévrier, mais plus fort et gaillard; qu'il soit gros, mais pas lourd au ralenti car trop gras; qu'il soit fortement charpenté et très nerveux; et qu'il soit facilement irritable, hautain et superbe".
Pour conclure, il faut préserver les racines du Cane Corso. Tel qu'il est, il correspond parfaitement aux attentes de l'homme et je propose pour définir le Cane Corso la métaphore qu'utilise TOMASEO dans son dictionnaire : Cane Corso, homme d'aspect fier.
- un lourd, duquel descendrait l'actuel Mâtin Napolitain.
- un autre plus léger et agile, serait l'ancêtre du Cane Corso.
Cette théorie se réfère aux différents bas reliefs ou peintures des périodes étrusque et romaine.
Le mot "corso" apparaît dès les premières années du XVème siècle. Ce terme est rapporté par Téofilo Folengo (1491-1527) - Canes inter seu corsos sive molossus - Niccolo Machiavelli (1469-1527) emploie le terme Cane Corso dans un poème intitulé "L'âne" : "… et un Cane Corso aboyer à la lune".
Le Suisse Konrad Von Gesner (1516-1565) dans son "Historia animalian" parle largement du Cane Corso. Tito Giavani Scandino dans son "Poème de la Chasse" (1556) décrit aussi le Cane Corso.
Cette brève histoire est un témoignage poétique, œuvre de ERASNO di VALVASON (1523-1593) dans son poème "La Chasse" (1591) dans lequel il le désigne par le terme Corso ou Mâtin. Voici la description qu'il en donne:
"Qu'il soit droit et rapide comme le lévrier, mais plus fort et gaillard; qu'il soit gros, mais pas lourd au ralenti car trop gras; qu'il soit fortement charpenté et très nerveux; et qu'il soit facilement irritable, hautain et superbe".
Pour conclure, il faut préserver les racines du Cane Corso. Tel qu'il est, il correspond parfaitement aux attentes de l'homme et je propose pour définir le Cane Corso la métaphore qu'utilise TOMASEO dans son dictionnaire : Cane Corso, homme d'aspect fier.
À lire également :