Chut ! Ne pensez pas de cette manière : les profs pourraient se venger en sous-notant nos enfants.
Mais revenons "à nos moutons". Surtout, n'encourageons pas nos lycéens et étudiants à imiter l'exemple Grec. Ne les mettons pas au défit, non plus, car les appels à l'insurrection sont interdits par la loi. Quant à cette fameuse réforme, certains pensent qu'elle nuirait plus aux enseignants qu'aux lycéens (CQFD).
Il n'empêche, le ministre devait présenter mardi les modalités de sa réforme de la classe de seconde, dernière du tronc commun, censée entrer en vigueur à la rentrée 2009. Il renonce et c'est, semble-t-il, par peur de voir déferler sur la France des hordes de manifestants grecs. Comprenez par là que les actions des syndicats des élèves et ceux des enseignants ne l’impressionnent pas ! ;)
En effet, Xavier Darcos a fait volte-face lundi, jugeant nécessaire de se "laisser plus de temps" alors que "les conditions d'un dialogue serein" ne sont d'après lui "pas réunies".
"Ce n'est pas un recul dans la mesure où le projet n'est pas abandonné. La réforme reste d'actualité", se défend-on au ministère de l'Education, où l'on admet toutefois quel'entrée en vigueur à la rentrée 2009 paraît "difficile".
En déplacement au Proche-Orient, Xavier Darcos a invoqué les "casseurs" et "la brutalité" qui ont émaillé les manifestations lycéennes de ces dix derniers jours et qui font craindre, en haut lieu, un embrasement semblable à la situation grecque pour justifier le report de la réforme et la reprise du dialogue.
Mais revenons "à nos moutons". Surtout, n'encourageons pas nos lycéens et étudiants à imiter l'exemple Grec. Ne les mettons pas au défit, non plus, car les appels à l'insurrection sont interdits par la loi. Quant à cette fameuse réforme, certains pensent qu'elle nuirait plus aux enseignants qu'aux lycéens (CQFD).
Il n'empêche, le ministre devait présenter mardi les modalités de sa réforme de la classe de seconde, dernière du tronc commun, censée entrer en vigueur à la rentrée 2009. Il renonce et c'est, semble-t-il, par peur de voir déferler sur la France des hordes de manifestants grecs. Comprenez par là que les actions des syndicats des élèves et ceux des enseignants ne l’impressionnent pas ! ;)
En effet, Xavier Darcos a fait volte-face lundi, jugeant nécessaire de se "laisser plus de temps" alors que "les conditions d'un dialogue serein" ne sont d'après lui "pas réunies".
"Ce n'est pas un recul dans la mesure où le projet n'est pas abandonné. La réforme reste d'actualité", se défend-on au ministère de l'Education, où l'on admet toutefois quel'entrée en vigueur à la rentrée 2009 paraît "difficile".
En déplacement au Proche-Orient, Xavier Darcos a invoqué les "casseurs" et "la brutalité" qui ont émaillé les manifestations lycéennes de ces dix derniers jours et qui font craindre, en haut lieu, un embrasement semblable à la situation grecque pour justifier le report de la réforme et la reprise du dialogue.
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