En tout, une dizaine d'accords commerciaux, politiques et sur les investissements doivent être signés pendant la visite en Libye du président russe sortant Vladimir Poutine, la première d'un dirigeant du Kremlin dans ce pays de l'Opep depuis 1985.
"Je suis content de la façon dont nous avons réglé le problème de la dette", a déclaré Poutine à des journalistes. "Je suis certain que nous avons trouvé une solution qui bénéficiera à la fois aux économies russe et libyenne et aux peuples russe et libyen.
"Cet accord va non seulement mettre à contribution les entreprises russes du secteur de la défense mais aussi contribuer à renforcer les défenses de la Libye."
La Libye, à qui ses secteurs pétrolier et gazier ont rapporté plus de 40 milliards de dollars en 2007, est courtisée par des entreprises occidentales cherchant à obtenir des contrats dans ses grands projets d'infrastructures.
MODERNISATION D'ARMEMENTS
Le ministre russe des Finances, Alexis Koudrine, a dit que la dette serait annulée une fois qu'auront été encaissés les paiements correspondant aux nouveaux contrats signés avec des entreprises russes.
Selon des analystes, cette dette s'est accumulée pendant la guerre froide, en grande partie du fait des ventes d'armes soviétiques à la Libye.
Le plus gros accord commercial signé pendant le voyage de Poutine a été un contrat de 2,2 milliards d'euros pour la construction d'une portion de ligne ferroviaire entre Syrte et Benghazi, confié aux chemins de fer russes, contrôlés par l'Etat.
Poutine a estimé que ce contrat aiderait la Libye à régler ses problèmes d'infrastructures.
Une source au sein des milieux de défense a indiqué que dans les prochains jours, les deux pays signeraient aussi un contrat d'un montant de plusieurs centaines de millions de dollars de modernisation par la Russie de certains armements vendus auparavant par Moscou à la Libye.
L'agence de presse russe Interfax a rapporté lundi que Moscou espérait vendre à Tripoli des systèmes anti-aériens, des chasseurs, des hélicoptères et des navires de guerre pour un montant total de 2,5 milliards d'euros.
Actuellement, les échanges commerciaux entre la Russie et la Libye s'élèvent à environ 200 millions de dollars par an, soit bien moins que le milliard de dollars qu'ils pesaient à l'époque soviétique, mais les entreprises du secteur de l'énergie sont engagées dans un processus d'expansion.
Source: yahoo news
"Je suis content de la façon dont nous avons réglé le problème de la dette", a déclaré Poutine à des journalistes. "Je suis certain que nous avons trouvé une solution qui bénéficiera à la fois aux économies russe et libyenne et aux peuples russe et libyen.
"Cet accord va non seulement mettre à contribution les entreprises russes du secteur de la défense mais aussi contribuer à renforcer les défenses de la Libye."
La Libye, à qui ses secteurs pétrolier et gazier ont rapporté plus de 40 milliards de dollars en 2007, est courtisée par des entreprises occidentales cherchant à obtenir des contrats dans ses grands projets d'infrastructures.
MODERNISATION D'ARMEMENTS
Le ministre russe des Finances, Alexis Koudrine, a dit que la dette serait annulée une fois qu'auront été encaissés les paiements correspondant aux nouveaux contrats signés avec des entreprises russes.
Selon des analystes, cette dette s'est accumulée pendant la guerre froide, en grande partie du fait des ventes d'armes soviétiques à la Libye.
Le plus gros accord commercial signé pendant le voyage de Poutine a été un contrat de 2,2 milliards d'euros pour la construction d'une portion de ligne ferroviaire entre Syrte et Benghazi, confié aux chemins de fer russes, contrôlés par l'Etat.
Poutine a estimé que ce contrat aiderait la Libye à régler ses problèmes d'infrastructures.
Une source au sein des milieux de défense a indiqué que dans les prochains jours, les deux pays signeraient aussi un contrat d'un montant de plusieurs centaines de millions de dollars de modernisation par la Russie de certains armements vendus auparavant par Moscou à la Libye.
L'agence de presse russe Interfax a rapporté lundi que Moscou espérait vendre à Tripoli des systèmes anti-aériens, des chasseurs, des hélicoptères et des navires de guerre pour un montant total de 2,5 milliards d'euros.
Actuellement, les échanges commerciaux entre la Russie et la Libye s'élèvent à environ 200 millions de dollars par an, soit bien moins que le milliard de dollars qu'ils pesaient à l'époque soviétique, mais les entreprises du secteur de l'énergie sont engagées dans un processus d'expansion.
Source: yahoo news
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