La direction militaire, ou Haut conseil d'Etat (HCE), précise dans un communiqué diffusé mardi que le texte se compose de onze articles.
La junte affirme que "l'intervention des forces armées et de sécurité a été motivée par le blocage des institutions de la République, la détérioration des conditions de vie des populations, la déliquescence de l'Etat, et le limogeage irresponsable et n'obéissant à aucune forme légale de tous les chefs de corps des forces armées et de sécurité".
Les soldats ont pris en otages le président Sidi Ould Cheikh Abdallahi, son Premier ministre Yahya Ould Ahmed Waqef et trois autres hauts responsables mauritaniens mercredi dernier une heure après l'annonce du limogeage des quatre principaux généraux de l'armée.
Le chef du gouvernement et les trois autres dignitaires ont été remis en liberté lundi mais le président, élu démocratiquement l'an dernier, demeure assigné à résidence.
La communauté internationale a condamné le putsch et demandé le retour à l'ordre constitutionnel.
Source: Dabio
La junte affirme que "l'intervention des forces armées et de sécurité a été motivée par le blocage des institutions de la République, la détérioration des conditions de vie des populations, la déliquescence de l'Etat, et le limogeage irresponsable et n'obéissant à aucune forme légale de tous les chefs de corps des forces armées et de sécurité".
Les soldats ont pris en otages le président Sidi Ould Cheikh Abdallahi, son Premier ministre Yahya Ould Ahmed Waqef et trois autres hauts responsables mauritaniens mercredi dernier une heure après l'annonce du limogeage des quatre principaux généraux de l'armée.
Le chef du gouvernement et les trois autres dignitaires ont été remis en liberté lundi mais le président, élu démocratiquement l'an dernier, demeure assigné à résidence.
La communauté internationale a condamné le putsch et demandé le retour à l'ordre constitutionnel.
Source: Dabio
A lire également:
-
Gabon : Lancement de la campagne pour le référendum constitutionnel
-
Guerre au Proche-Orient : Les frappes israéliennes frappent maintenant l'ensemble du Liban
-
Les tensions croissantes autour de la communauté libanaise en Côte d’Ivoire
-
Problèmes judiciaires de Benyamin Netanyahu
-
Niamey change ses rues et efface les références françaises