Cette mesure avait été prévue dans la loi sur les universités, votée cet été.
Le décret, paru le 30 décembre au JO, prévoit que les établissements publics d'enseignement supérieur peuvent embaucher les étudiants pour des contrats conclus pour 12 mois maximum, "n'excédant pas 670 heures" (correspondant à un emploi à mi-temps) entre le 1er septembre et le 30 juin et ne pouvant excéder 300 heures durant les grandes vacances (pas plus de 35 heures hebdomadaires).
"Tutorat", "service d'appui aux personnels des bibliothèques", "assistance et accompagnement des étudiants handicapés", "soutien informatique et aide à l'utilisation des nouvelles technologies", "animations culturelles, scientifiques, sportives et sociales", "aide à l'insertion professionnelle" sont parmi les principales activités prévues.
"La candidature est appréciée prioritairement au regard de critères sociaux et académiques". Seront ainsi d'abord examinées les candidatures des élèves boursiers et des élèves "méritants", selon le ministère de l'Enseignement supérieur.
Rémunéré au minimum au Smic, l'étudiant embauché pourra aménager ses horaires "en fonction des exigences spécifiques de la formation suivie" et ne pourra être astreint à une obligation de travail pendant les enseignements obligatoires et les examens.
En revanche son contrat sera rompu s'il "interrompt ses études, manque à l'obligation d'assiduité aux enseignements obligatoires ou ne se présente pas aux épreuves de contrôle des connaissances sans motif légitime".
"L'objectif est de permettre aux étudiants de concilier une activité professionnelle et la poursuite simultanée de leurs études", avait expliqué Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur, dans son rapport au Premier ministre.
Selon une enquête de l'Observatoire de la vie étudiante (OVE) parue en septembre, trois étudiants sur quatre exercent au moins un petit job pendant l'année universitaire ou les vacances d'été, mais un sur cinq a un emploi parallèle lourd qui hypothèque la réussite de ses études.
aol.fr
Le décret, paru le 30 décembre au JO, prévoit que les établissements publics d'enseignement supérieur peuvent embaucher les étudiants pour des contrats conclus pour 12 mois maximum, "n'excédant pas 670 heures" (correspondant à un emploi à mi-temps) entre le 1er septembre et le 30 juin et ne pouvant excéder 300 heures durant les grandes vacances (pas plus de 35 heures hebdomadaires).
"Tutorat", "service d'appui aux personnels des bibliothèques", "assistance et accompagnement des étudiants handicapés", "soutien informatique et aide à l'utilisation des nouvelles technologies", "animations culturelles, scientifiques, sportives et sociales", "aide à l'insertion professionnelle" sont parmi les principales activités prévues.
"La candidature est appréciée prioritairement au regard de critères sociaux et académiques". Seront ainsi d'abord examinées les candidatures des élèves boursiers et des élèves "méritants", selon le ministère de l'Enseignement supérieur.
Rémunéré au minimum au Smic, l'étudiant embauché pourra aménager ses horaires "en fonction des exigences spécifiques de la formation suivie" et ne pourra être astreint à une obligation de travail pendant les enseignements obligatoires et les examens.
En revanche son contrat sera rompu s'il "interrompt ses études, manque à l'obligation d'assiduité aux enseignements obligatoires ou ne se présente pas aux épreuves de contrôle des connaissances sans motif légitime".
"L'objectif est de permettre aux étudiants de concilier une activité professionnelle et la poursuite simultanée de leurs études", avait expliqué Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur, dans son rapport au Premier ministre.
Selon une enquête de l'Observatoire de la vie étudiante (OVE) parue en septembre, trois étudiants sur quatre exercent au moins un petit job pendant l'année universitaire ou les vacances d'été, mais un sur cinq a un emploi parallèle lourd qui hypothèque la réussite de ses études.
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