Son avocate a répondu à une lettre reçue en prison par son client et lui notifiant ce licenciement, dont le contenu exact n'est pas connu, a expliqué à Reuters Christophe Reille, qui assure sa communication.
Le courrier envoyé à la Société générale conteste pour l'instant la forme, dans le cadre d'une procédure "pré-contentieuse", car l'entretien préalable imposé par la loi n'a pas pu avoir lieu, assure-t-il.
Rien n'est exclu pour l'avenir mais les prud'hommes, compétents pour les conflits du travail, ne sont pas saisis, a précisé Christophe Reille.
Me Jean Veil, avocat de la Société générale, a déclaré à Reuters n'avoir pas été informé de cette démarche et il a précisé n'avoir aucun commentaire à faire sur cette éventuelle démarche.
"Je peux vous affirmer qu'aucune procédure n'a été lancée", a déclaré à Reuters Elisabeth Meyer. Prié de dire s'il avait l'intention de le faire : elle a répondu "Pas de commentaire".
L'information concernant ce licenciement a été publiée par le site internet du Times de Londres.
Le 18 mars dernier, Jérôme Kerviel est sorti de prison sur décision de la cour d'appel de Paris, après 38 jours de détention provisoire, contre l'avis du parquet général. Il est juridiquement pour l'instant mis à pied, mais pas licencié, en l'absence d'entretien préalable.
La chambre lui a imposé un strict contrôle judiciaire, avec interdiction de se rendre dans des établissements financiers, retrait du passeport et de la carte d'identité et obligation de "pointer" au commissariat une fois par semaine.
Il reste mis en examen pour "abus de confiance, faux et usage de faux et introduction dans un système de traitement automatisé de données".
On lui reproche des prises de position à risque à hauteur de 50 milliards d'euros dont la liquidation par la banque du 21 au 23 janvier a généré une perte historique pour la finance de 4,9 milliards d'euros.
Il reconnait avoir forgé des faux pour dissimuler ses agissements mais assure que sa hiérarchie a fermé les yeux. Ses manoeuvres duraient depuis plusieurs années et la banque, alertée à 74 reprises en décembre 2006 et janvier 2007 selon un rapport interne, n'a jamais réagi.
yahoo.com
Le courrier envoyé à la Société générale conteste pour l'instant la forme, dans le cadre d'une procédure "pré-contentieuse", car l'entretien préalable imposé par la loi n'a pas pu avoir lieu, assure-t-il.
Rien n'est exclu pour l'avenir mais les prud'hommes, compétents pour les conflits du travail, ne sont pas saisis, a précisé Christophe Reille.
Me Jean Veil, avocat de la Société générale, a déclaré à Reuters n'avoir pas été informé de cette démarche et il a précisé n'avoir aucun commentaire à faire sur cette éventuelle démarche.
"Je peux vous affirmer qu'aucune procédure n'a été lancée", a déclaré à Reuters Elisabeth Meyer. Prié de dire s'il avait l'intention de le faire : elle a répondu "Pas de commentaire".
L'information concernant ce licenciement a été publiée par le site internet du Times de Londres.
Le 18 mars dernier, Jérôme Kerviel est sorti de prison sur décision de la cour d'appel de Paris, après 38 jours de détention provisoire, contre l'avis du parquet général. Il est juridiquement pour l'instant mis à pied, mais pas licencié, en l'absence d'entretien préalable.
La chambre lui a imposé un strict contrôle judiciaire, avec interdiction de se rendre dans des établissements financiers, retrait du passeport et de la carte d'identité et obligation de "pointer" au commissariat une fois par semaine.
Il reste mis en examen pour "abus de confiance, faux et usage de faux et introduction dans un système de traitement automatisé de données".
On lui reproche des prises de position à risque à hauteur de 50 milliards d'euros dont la liquidation par la banque du 21 au 23 janvier a généré une perte historique pour la finance de 4,9 milliards d'euros.
Il reconnait avoir forgé des faux pour dissimuler ses agissements mais assure que sa hiérarchie a fermé les yeux. Ses manoeuvres duraient depuis plusieurs années et la banque, alertée à 74 reprises en décembre 2006 et janvier 2007 selon un rapport interne, n'a jamais réagi.
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