Les dernières discussions ont été "constructives et positives", précisait-on de même source, même si aucun accord sur des pourparlers directs n'a été conclu.
La Turquie assure depuis mai une médiation entre Israël et la Syrie, engagés à Istanbul dans des pourparlers indirects dont les résultats ont pour le moment été tenus secrets.
Les deux camps ne se sont pas encore rencontrés en face, mais le président syrien Bachar el-Assad a déclaré début juillet que le processus pourrait évoluer vers un contact direct, tout en laissant entendre que cela n'arriverait pas tant que le nouveau président américain ne sera pas élu.
Trois guerres ont opposé Israël et la Syrie par le passé, et leurs forces se sont affrontées au Liban. Les dernières négociations officielles en 2000, organisées sous les auspices des Etats-Unis, avaient échoué sur la question du Golan. Damas exigeait un retrait israélien complet de ce plateau stratégique capturé lors de la Guerre des Six Jours en 1967, tandis que l'Etat hébreu exigeait des garanties de sécurité et voulait conserver le contrôle de l'approvisionnement en eau.
Mardi, le Premier ministre israélien Ehoud Olmert a déclaré que la Syrie devrait un jour choisir "entre la mainmise iranienne, la participation à l'axe du mal et l'isolement international, ou la paix, la prospérité économique et une place dans la famille des nations".
Source: yahoo news
La Turquie assure depuis mai une médiation entre Israël et la Syrie, engagés à Istanbul dans des pourparlers indirects dont les résultats ont pour le moment été tenus secrets.
Les deux camps ne se sont pas encore rencontrés en face, mais le président syrien Bachar el-Assad a déclaré début juillet que le processus pourrait évoluer vers un contact direct, tout en laissant entendre que cela n'arriverait pas tant que le nouveau président américain ne sera pas élu.
Trois guerres ont opposé Israël et la Syrie par le passé, et leurs forces se sont affrontées au Liban. Les dernières négociations officielles en 2000, organisées sous les auspices des Etats-Unis, avaient échoué sur la question du Golan. Damas exigeait un retrait israélien complet de ce plateau stratégique capturé lors de la Guerre des Six Jours en 1967, tandis que l'Etat hébreu exigeait des garanties de sécurité et voulait conserver le contrôle de l'approvisionnement en eau.
Mardi, le Premier ministre israélien Ehoud Olmert a déclaré que la Syrie devrait un jour choisir "entre la mainmise iranienne, la participation à l'axe du mal et l'isolement international, ou la paix, la prospérité économique et une place dans la famille des nations".
Source: yahoo news