La première dame de France a expliqué "vouloir attirer l'attention sur le travail extraordinaire" déjà réalisé par l'organisme. Dans une interview accordée au Parisien, elle se dit "heureuse si les Français trouvent (qu'elle) représente bien la France".
Mais Carla entend désormais "exercer (ses) nouvelles fonctions" et "ne plus être uniquement dans la représentation". Touchée personnellement par le sida (son frère Virginio en est décédé en 2006), elle explique avoir "observé la maladie de près" et vouloir "faire un travail d'éducation" autour de ce fléau. Son engagement, Carla dit également le puiser de sa vie - passée - d'artiste. "J'ai participé à beaucoup de choses en tant qu'artiste. [...] Je veux mettre ma vie d'avant au service des causes. »
Ainsi, Carla veut sortir de son rôle de femme-potiche... Ce qui est loin d'être un mal. On s'en souvient, avant d'être l'épouse de Nicolas Sarkozy, Carla ne se gênait pas pour donner son avis sur les décisions du gouvernement (elle avait notamment dit être contre l'utilisation des tests ADN pour le regroupement familial). Consciente qu'en tant que première dame, elle doit faire attention à ce qu'elle dit — "exprimer mon opinion a forcément des répercussions" —, elle affirme cependant rester "une femme libre". Celle qui dit avoir pour modèles des femmes impliquées, "de Lady Di à Bernadette Chirac", va donc se faire plus présente sur la scène internationale.
"Tout à fait amoureuse" de son mari, "une bulle qu'(elle) entretient au quotidien", elle consacrera son temps libre à l'humanitaire. Carla, la nouvelle Lady Di ? En voilà une idée qu'elle est bonne. Du grain à moudre pour la presse et de quoi sauver la cote de popularité de son mari...
Et puis, pendant ce temps-là, on ne parlera pas de la crise...
Source: Yahoo News
Mais Carla entend désormais "exercer (ses) nouvelles fonctions" et "ne plus être uniquement dans la représentation". Touchée personnellement par le sida (son frère Virginio en est décédé en 2006), elle explique avoir "observé la maladie de près" et vouloir "faire un travail d'éducation" autour de ce fléau. Son engagement, Carla dit également le puiser de sa vie - passée - d'artiste. "J'ai participé à beaucoup de choses en tant qu'artiste. [...] Je veux mettre ma vie d'avant au service des causes. »
Ainsi, Carla veut sortir de son rôle de femme-potiche... Ce qui est loin d'être un mal. On s'en souvient, avant d'être l'épouse de Nicolas Sarkozy, Carla ne se gênait pas pour donner son avis sur les décisions du gouvernement (elle avait notamment dit être contre l'utilisation des tests ADN pour le regroupement familial). Consciente qu'en tant que première dame, elle doit faire attention à ce qu'elle dit — "exprimer mon opinion a forcément des répercussions" —, elle affirme cependant rester "une femme libre". Celle qui dit avoir pour modèles des femmes impliquées, "de Lady Di à Bernadette Chirac", va donc se faire plus présente sur la scène internationale.
"Tout à fait amoureuse" de son mari, "une bulle qu'(elle) entretient au quotidien", elle consacrera son temps libre à l'humanitaire. Carla, la nouvelle Lady Di ? En voilà une idée qu'elle est bonne. Du grain à moudre pour la presse et de quoi sauver la cote de popularité de son mari...
Et puis, pendant ce temps-là, on ne parlera pas de la crise...
Source: Yahoo News