Alexis Thambwe Mwamba a déclaré que le plan avait été élaboré par des officiers des deux pays et accepté par son homologue rwandaise, Rosemary Museminali.
Les deux ministres se sont rencontrés à Goma, chef-lieu de la province congolaise du Nord-Kivu où les combats ont chassé de chez elles 250.000 personnes.
Le conflit oppose les rebelles tutsis du général mutin Laurent Nkunda à l'armée congolaise et aux combattants hutus rwandais des FDLR.
Nkunda présente la présence dans l'est du Congo des FDLR, parmi lesquels des auteurs du génocide de 1994 au Rwanda contre les tutsis, comme la cause principale de sa rébellion qui a gagné du terrain ces dernières semaines.
Mwamba a déclaré que le plan conjoint, dont il n'a pas livré les détails, serait signé vendredi.
Les FDLR doivent retourner au Rwanda ou devenir des non-combattants sur le territoire congolais, a-t-il dit.
Le ministre congolais a ajouté que la mise en œuvre du plan pourrait faire appel à des forces extérieures telles que la mission de maintien de la paix de l'Onu au Congo, la Monuc ou des soldats de la Communauté de développement d'Afrique australe (SADC) qui a proposé des troupes pour pacifier l'est du Congo.
Nkunda a déclaré un cessez-le-feu avec l'armée gouvernementale congolaise mais ses hommes continuent de combattre les FDLR.
"Ils (les FDLR) sont à vrai dire la cause fondamentale de l'insécurité à laquelle nous assistons", a dit Museminali.
Le Congo et le Rwanda ont échangé des accusations de soutien aux rebelles de l'est du Congo. Mais le président rwandais Paul Kagame dément soutenir Nkunda tandis que le président congolais Joseph Kabila dément que son armée fasse cause commune avec les FDLR.
La RDC a promis l'an dernier de désarmer si nécessaire les FDLR mais le Rwanda dit n'avoir guère enregistré de progrès dans ce sens.
Un porte-parole des FDLR, le lieutenant-colonel Edmond Ngarambe, a déclaré que les discussions destinées à pacifier l'est du Congo devaient inclure les combattants de son mouvement.
Les FDLR réclament un accord autorisant ses combattants à retourner au Rwanda et à y devenir un mouvement politique.
L'Onu a l'intention d'envoyer des renforts dans l'est du Congo pour tenter de pacifier le Nord-Kivu, mais cela pourrait prendre des mois.
Soyurece: Yahoo News
Les deux ministres se sont rencontrés à Goma, chef-lieu de la province congolaise du Nord-Kivu où les combats ont chassé de chez elles 250.000 personnes.
Le conflit oppose les rebelles tutsis du général mutin Laurent Nkunda à l'armée congolaise et aux combattants hutus rwandais des FDLR.
Nkunda présente la présence dans l'est du Congo des FDLR, parmi lesquels des auteurs du génocide de 1994 au Rwanda contre les tutsis, comme la cause principale de sa rébellion qui a gagné du terrain ces dernières semaines.
Mwamba a déclaré que le plan conjoint, dont il n'a pas livré les détails, serait signé vendredi.
Les FDLR doivent retourner au Rwanda ou devenir des non-combattants sur le territoire congolais, a-t-il dit.
Le ministre congolais a ajouté que la mise en œuvre du plan pourrait faire appel à des forces extérieures telles que la mission de maintien de la paix de l'Onu au Congo, la Monuc ou des soldats de la Communauté de développement d'Afrique australe (SADC) qui a proposé des troupes pour pacifier l'est du Congo.
Nkunda a déclaré un cessez-le-feu avec l'armée gouvernementale congolaise mais ses hommes continuent de combattre les FDLR.
"Ils (les FDLR) sont à vrai dire la cause fondamentale de l'insécurité à laquelle nous assistons", a dit Museminali.
Le Congo et le Rwanda ont échangé des accusations de soutien aux rebelles de l'est du Congo. Mais le président rwandais Paul Kagame dément soutenir Nkunda tandis que le président congolais Joseph Kabila dément que son armée fasse cause commune avec les FDLR.
La RDC a promis l'an dernier de désarmer si nécessaire les FDLR mais le Rwanda dit n'avoir guère enregistré de progrès dans ce sens.
Un porte-parole des FDLR, le lieutenant-colonel Edmond Ngarambe, a déclaré que les discussions destinées à pacifier l'est du Congo devaient inclure les combattants de son mouvement.
Les FDLR réclament un accord autorisant ses combattants à retourner au Rwanda et à y devenir un mouvement politique.
L'Onu a l'intention d'envoyer des renforts dans l'est du Congo pour tenter de pacifier le Nord-Kivu, mais cela pourrait prendre des mois.
Soyurece: Yahoo News
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