Les explosions, qui se sont produites dans différentes rues de Corniche al Mazraa, ont provoqué des dégâts sur des vitrines de magasins et des voitures, a-t-on indiqué de même source.
Cette zone à majorité sunnite mais où vivent également des chiites, avait connu de violents heurts intercommunautaires entre des partisans du Hezbollah (chiite) et le Courant du Futur (sunnite) lors des affrontements qui ont fait 65 morts au Liban en mai, faisant craindre un retour à la guerre civile.
Par ailleurs, deux bombes artisanales ont été désamorcées par l'armée libanaise près d'une église dans le village de Lassa, dans la région de Jbeil (Byblos), au nord de Beyrouth, selon le même responsable de sécurité.
Ces deux incidents interviennent à la veille de la relance du dialogue national qui réunit à partir de mardi les principaux dirigeants politiques pour débattre notamment de la question épineuse de l'armement du Hezbollah, dans un climat de crainte de violences après un nouvel attentat.
Celui-ci a coûté la vie à un responsable du Parti démocratique (prosyrien), le premier à viser un membre du camp soutenu par Damas et Téhéran depuis la série d'assassinats qui a principalement touché des personnalités antisyriennes depuis 2004.
Source: Dabio
Cette zone à majorité sunnite mais où vivent également des chiites, avait connu de violents heurts intercommunautaires entre des partisans du Hezbollah (chiite) et le Courant du Futur (sunnite) lors des affrontements qui ont fait 65 morts au Liban en mai, faisant craindre un retour à la guerre civile.
Par ailleurs, deux bombes artisanales ont été désamorcées par l'armée libanaise près d'une église dans le village de Lassa, dans la région de Jbeil (Byblos), au nord de Beyrouth, selon le même responsable de sécurité.
Ces deux incidents interviennent à la veille de la relance du dialogue national qui réunit à partir de mardi les principaux dirigeants politiques pour débattre notamment de la question épineuse de l'armement du Hezbollah, dans un climat de crainte de violences après un nouvel attentat.
Celui-ci a coûté la vie à un responsable du Parti démocratique (prosyrien), le premier à viser un membre du camp soutenu par Damas et Téhéran depuis la série d'assassinats qui a principalement touché des personnalités antisyriennes depuis 2004.
Source: Dabio