Plus de 10.000 teufeurs étaient déjà recensés vendredi à l'aube l'ancienne base militaire de Crucey-Villages près de Dreux, où se tient jusqu'à dimanche un Teknival où sont attendus quatre fois plus de fans de techno, selon les forces de l'ordre.
Dès jeudi matin, les premiers DJ ont commencé à faire rugir leurs murs d'enceintes tandis que la majeure partie d'entre eux commençaient juste à monter les leurs.
"Il nous faut environ une demie-journée afin que tout soit prêt", explique un groupe d'amis venus du Mans, dont le sound system se nomme Têtes à claques. Durant les quatre jours, ils doivent se relayer pour assurer en continu le flot de musique techno.
"Chacun a amené ses enceintes, et l'on construit notre mur avec. On aura 20 kilos de puissance quand tout sera relié. Ça va bien claquer", se réjouit un membre du groupe. "Pour l'électricité, on s'est arrangé à louer un groupe électrogène pour 100 euros le week-end, alors que ça coûte 130 euros par jour normalement", affirme-il.
Si la majorité des sounds system arrivent en amateurs, certains viennent s'implanter sur le site en professionnel.
C'est le cas de l'association Wavefarm de Tours qui a monté un véritable chapiteau de cirque. Les moyens techniques sont conséquents et l'organisation rodée. "Cela fait 15 ans que l'on fait du spectacle et que l'on anime des soirées", affirme celui qui se présente comme le turbo de l'association.
"Toute l'année, on parcourt les routes en France et ailleurs. On vient ici pour proposer autre chose que de la techno. On souhaite inviter les teufeurs à l'éclectisme", selon lui.
Plusieurs groupes sont d'ailleurs programmés sous le chapiteau pour des "live" avec instruments.
Jusqu'en milieu de nuit, les teufeurs étaient toujours très clairsemés, simplement éclairés par le champ des effets laser et des phares des voitures qui circulent sur le tarmac de la base.
Certains sounds system crachaient du son sans que personne ne s'y arrête, alors que les averses s'enchaînaient. "Dès vendredi soir, ce sera l'affluence", prédisait une marchande de frites, "habituée des teknivals".
Source: news.yahoo.com
Dès jeudi matin, les premiers DJ ont commencé à faire rugir leurs murs d'enceintes tandis que la majeure partie d'entre eux commençaient juste à monter les leurs.
"Il nous faut environ une demie-journée afin que tout soit prêt", explique un groupe d'amis venus du Mans, dont le sound system se nomme Têtes à claques. Durant les quatre jours, ils doivent se relayer pour assurer en continu le flot de musique techno.
"Chacun a amené ses enceintes, et l'on construit notre mur avec. On aura 20 kilos de puissance quand tout sera relié. Ça va bien claquer", se réjouit un membre du groupe. "Pour l'électricité, on s'est arrangé à louer un groupe électrogène pour 100 euros le week-end, alors que ça coûte 130 euros par jour normalement", affirme-il.
Si la majorité des sounds system arrivent en amateurs, certains viennent s'implanter sur le site en professionnel.
C'est le cas de l'association Wavefarm de Tours qui a monté un véritable chapiteau de cirque. Les moyens techniques sont conséquents et l'organisation rodée. "Cela fait 15 ans que l'on fait du spectacle et que l'on anime des soirées", affirme celui qui se présente comme le turbo de l'association.
"Toute l'année, on parcourt les routes en France et ailleurs. On vient ici pour proposer autre chose que de la techno. On souhaite inviter les teufeurs à l'éclectisme", selon lui.
Plusieurs groupes sont d'ailleurs programmés sous le chapiteau pour des "live" avec instruments.
Jusqu'en milieu de nuit, les teufeurs étaient toujours très clairsemés, simplement éclairés par le champ des effets laser et des phares des voitures qui circulent sur le tarmac de la base.
Certains sounds system crachaient du son sans que personne ne s'y arrête, alors que les averses s'enchaînaient. "Dès vendredi soir, ce sera l'affluence", prédisait une marchande de frites, "habituée des teknivals".
Source: news.yahoo.com