Vers 15h50 GMT, le contrat septembre sur le brut léger américain perdait 32 cents, soit 0,27%, à 124,10 dollars le baril et le Brent perdait 30 cents environ (0,25%) à 125, 00 dollars.
Mercredi, les cours avaient perdu environ quatre dollars après l'annonce d'une hausse plus forte que prévu des stocks hebdomadaires d'essence et d'une baisse de la demande sous-jacente.
Les cours du brut US ont perdu plus de 23 dollars, soit 15%, par rapport à leur record de 147,27 dollars touché le 11 juillet. Ils restent toutefois en hausse de près de 30% depuis le début de l'année.
Les cours de l'or noir étaient retombés à 20 dollars en 2002.
Dans ce contexte de prise de bénéfices, de nouvelles menaces de sabotage d'installations pétrolières au Nigeria n'ont pas suffi pour que les cours repartent à la hausse.
Un groupe de rebelles a prévenu mercredi qu'il attaquerait les oléoducs des principales compagnies pétrolières du pays d'ici 30 jours au motif que le gouvernement n'a pas versé la somme qui devait les inciter à mettre un terme à leurs opérations.
Ce genre d'information se traduit habituellement par une envolée des cours, mais les marché n'ont pourtant pas réagi avec véhémence.
"Ces avertissements envoient en général les prix en forte hausse", commente MF Global dans une note.
"En fin de compte, le marché réagit davantage aux données qui montrent un ralentissement économique qu'aux circonstances géopolitiques", ajoute-t-il.
Source: yahoo news
Mercredi, les cours avaient perdu environ quatre dollars après l'annonce d'une hausse plus forte que prévu des stocks hebdomadaires d'essence et d'une baisse de la demande sous-jacente.
Les cours du brut US ont perdu plus de 23 dollars, soit 15%, par rapport à leur record de 147,27 dollars touché le 11 juillet. Ils restent toutefois en hausse de près de 30% depuis le début de l'année.
Les cours de l'or noir étaient retombés à 20 dollars en 2002.
Dans ce contexte de prise de bénéfices, de nouvelles menaces de sabotage d'installations pétrolières au Nigeria n'ont pas suffi pour que les cours repartent à la hausse.
Un groupe de rebelles a prévenu mercredi qu'il attaquerait les oléoducs des principales compagnies pétrolières du pays d'ici 30 jours au motif que le gouvernement n'a pas versé la somme qui devait les inciter à mettre un terme à leurs opérations.
Ce genre d'information se traduit habituellement par une envolée des cours, mais les marché n'ont pourtant pas réagi avec véhémence.
"Ces avertissements envoient en général les prix en forte hausse", commente MF Global dans une note.
"En fin de compte, le marché réagit davantage aux données qui montrent un ralentissement économique qu'aux circonstances géopolitiques", ajoute-t-il.
Source: yahoo news