El pele et José Angel Carmona
Le spectacle du premier jeudi de mars aura pour but une convergence entre la jeunesse naissante dans le chanter flamenco avec Carmona et l'expérience de toute une vie pour "El pele".
Ce dernier aura rendu clair son objectif: que les nouvelles générations s'inspirent et continuent à se lancer dans cette culture musicale increvable que cette Espagne a la chance d'avoir, et qui dans la plupart des familles fait partie de l'éducation."
Le flamenco n'est pas seulement une culture musicale, elle est avant tout un mode de vie". El pele se rend bien compte que cette tradition est une chance pour chacun qui y voit le bonheur et ne se privera pas de nous le faire remarquer et d'encourager la jeunesse intéressée.
Il a même un invité : Gualberto qui nous fera découvrir le flamenco joué au Sitar Hindou.
En première partie Carmona, qui a chanté avec une voix et un souffle jeune mais maîtrisé, il a une qualité hors du commun: il articule clairement ce qui est rare dans les chants flamencos. José Angel Carmona accompagné de son guitariste Miguel Iglesias nous a raconté des poésies d'amour, de rêves et a même demandé pardon au ciel.
La seconde partie introduite par le Sitar hindou, et la guitare jouée par Manuel Silveria sera d'un niveau un peu supérieur. N'ayant aucun programme de prévu, El pele entre en scène en laissant son humeur décider de ses chants sur le moment. Il continuera ainsi tout le long du spectacle et son guitariste le suit avec professionnalisme.
Le public passera des rires au larmes avec les enguelades théâtrales entre El pele et Miguel Silveria pour savoir par quel rythmique débuter les chansons. Ce maestro de la voix chante en tremblant de tout son corps et à bout de souffle, il explore toutes les voix cachées dans sa gorge accompagnés de grands "Olé" du public.
Ce spectacle aura montré une chose incontournable : le flamenco est avant tout une improvisation et ne serait aussi authentique sans les encouragements d'un public omniprésent dans chaque représentation.
Ce dernier aura rendu clair son objectif: que les nouvelles générations s'inspirent et continuent à se lancer dans cette culture musicale increvable que cette Espagne a la chance d'avoir, et qui dans la plupart des familles fait partie de l'éducation."
Le flamenco n'est pas seulement une culture musicale, elle est avant tout un mode de vie". El pele se rend bien compte que cette tradition est une chance pour chacun qui y voit le bonheur et ne se privera pas de nous le faire remarquer et d'encourager la jeunesse intéressée.
Il a même un invité : Gualberto qui nous fera découvrir le flamenco joué au Sitar Hindou.
En première partie Carmona, qui a chanté avec une voix et un souffle jeune mais maîtrisé, il a une qualité hors du commun: il articule clairement ce qui est rare dans les chants flamencos. José Angel Carmona accompagné de son guitariste Miguel Iglesias nous a raconté des poésies d'amour, de rêves et a même demandé pardon au ciel.
La seconde partie introduite par le Sitar hindou, et la guitare jouée par Manuel Silveria sera d'un niveau un peu supérieur. N'ayant aucun programme de prévu, El pele entre en scène en laissant son humeur décider de ses chants sur le moment. Il continuera ainsi tout le long du spectacle et son guitariste le suit avec professionnalisme.
Le public passera des rires au larmes avec les enguelades théâtrales entre El pele et Miguel Silveria pour savoir par quel rythmique débuter les chansons. Ce maestro de la voix chante en tremblant de tout son corps et à bout de souffle, il explore toutes les voix cachées dans sa gorge accompagnés de grands "Olé" du public.
Ce spectacle aura montré une chose incontournable : le flamenco est avant tout une improvisation et ne serait aussi authentique sans les encouragements d'un public omniprésent dans chaque représentation.