"Des alpinistes se sont installés à côté de nous et ont déployé le portrait d'Ingrid Betancourt", a déclaré à l'AFP Paul Robach, qui dirige une cordée de 26 Européennes, dont une dizaine a atteint le sommet du Mont-Blanc en même temps que trois alpinistes portant le portrait de Mme Betancourt.
"Ils ont sympathisé au refuge et sont montés tous ensemble au sommet dans une belle fraternité européenne", a déclaré à l'AFP le porte-parole du comité de soutien à Mme Betancourt, Hervé Marro.
Par ailleurs, dans le même temps, des délégués européens de France et de Suisse auraient réussi à établir un contact avec des dirigeants des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc-guérilla marxiste), qui détiennent depuis 2002 Ingrid Bétancourt, indique lundi le site internet du quotidien national El Tiempo, citant une source gouvernementale anonyme.
Un haut fonctionnaire de la présidence colombienne, interrogé par l'AFP, a signalé que depuis vendredi, deux délégués européens tentaient d'établir un contact avec le groupe rebelle. "Ils recherchaient depuis vendredi à établir un contact, et je crois qu'ils ont pu l'établir", a déclaré cette source qui a également demandé l'anonymat. "Le gouvernement colombien n'a, jusqu'à présent, pas été informé" de l'évolution de leur mission, selon la même source.
Selon le Tiempo, les deux médiateurs européens, autorisés par le président colombien Alvaro Uribe à oeuvrer pour un accord humanitaire, sont l'ancien consul de France à Bogota, Noël Saez et le diplomate suisse Jean-Pierre Gontard.
Les contacts avec les Farc avaient été rompus en mars, après l'élimination par un commando de l'armée colombienne du numéro deux des Farc, Raul Reyes, en territoire équatorien. Les rebelles avaient alors accusé les deux délégués d'avoir permis grace à un appel de localiser le chef guérillero.
Le 25 juin l'ambassadeur de France en Colombie, Jean-Michel Marlaud avait déclaré que Paris n'avait pas de nouveau contact avec les Farc qui détiennent en otage depuis plus de six ans la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt.
"Concernant la question des nouveaux contacts, il n'y en a pas eu. Il n'y a eu qu'une mauvaise interprétation parce que nous n'avons pas de nouveaux contacts", avait affirmé le diplomate qui avait démenti des informations en provenance d'une source proche de l'Elysée à Paris selon lesquelles la France serait parvenue à renouer le dialogue.
Ingrid Betancourt fait partie d'un groupe de 39 otages dont les Farc proposent la libération contre celle de 500 guérilleros emprisonnés.
Source: yahoo news
"Ils ont sympathisé au refuge et sont montés tous ensemble au sommet dans une belle fraternité européenne", a déclaré à l'AFP le porte-parole du comité de soutien à Mme Betancourt, Hervé Marro.
Par ailleurs, dans le même temps, des délégués européens de France et de Suisse auraient réussi à établir un contact avec des dirigeants des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc-guérilla marxiste), qui détiennent depuis 2002 Ingrid Bétancourt, indique lundi le site internet du quotidien national El Tiempo, citant une source gouvernementale anonyme.
Un haut fonctionnaire de la présidence colombienne, interrogé par l'AFP, a signalé que depuis vendredi, deux délégués européens tentaient d'établir un contact avec le groupe rebelle. "Ils recherchaient depuis vendredi à établir un contact, et je crois qu'ils ont pu l'établir", a déclaré cette source qui a également demandé l'anonymat. "Le gouvernement colombien n'a, jusqu'à présent, pas été informé" de l'évolution de leur mission, selon la même source.
Selon le Tiempo, les deux médiateurs européens, autorisés par le président colombien Alvaro Uribe à oeuvrer pour un accord humanitaire, sont l'ancien consul de France à Bogota, Noël Saez et le diplomate suisse Jean-Pierre Gontard.
Les contacts avec les Farc avaient été rompus en mars, après l'élimination par un commando de l'armée colombienne du numéro deux des Farc, Raul Reyes, en territoire équatorien. Les rebelles avaient alors accusé les deux délégués d'avoir permis grace à un appel de localiser le chef guérillero.
Le 25 juin l'ambassadeur de France en Colombie, Jean-Michel Marlaud avait déclaré que Paris n'avait pas de nouveau contact avec les Farc qui détiennent en otage depuis plus de six ans la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt.
"Concernant la question des nouveaux contacts, il n'y en a pas eu. Il n'y a eu qu'une mauvaise interprétation parce que nous n'avons pas de nouveaux contacts", avait affirmé le diplomate qui avait démenti des informations en provenance d'une source proche de l'Elysée à Paris selon lesquelles la France serait parvenue à renouer le dialogue.
Ingrid Betancourt fait partie d'un groupe de 39 otages dont les Farc proposent la libération contre celle de 500 guérilleros emprisonnés.
Source: yahoo news