Ce représentant du syndicat Ver.di "réclame une augmentation de salaire de 8 à 12% pour les 11.500 salariés. Nous ne voulons pas de conflit, ni avec le gouvernement de Berlin et encore moins avec les clients des transports publics mais nous ne l'éviterons pas non plus".
La commission tarifaire de Ver.di avait rejeté hier soir une proposition de la compagnie de transport, la qualifiant de "pure provocation".
En attendant, les berlinois ont trouvé porte close ce matin à l'heure d'aller travailler à l'image de ce policier qui reste philosophe : "Et bien je vais appeler mes collègues policiers et leur demander de venir me chercher, ce n'est pas très loi du poste de police".
Ces deux étudiants sont plus énervés. "Je pense que les salariés sont déjà plus payés qu'ils ne le méritent", déclare cette jeune fille.
Selon ce jeune homme, "Si tout le monde fait grève chaque jour, on ne pourra plus rien faire".
La grève doit se poursuivre jusqu'à samedi après-midi.
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