Qiangba Puncog, président du gouvernement de la Région autonome du Tibet, a déclaré lors d'une conférence de presse à Pékin que des procureurs avaient émis des mandats d'arrêt visant 403 des suspects arrêtés, ce qui entraîne généralement des poursuites judiciaires.
Il a néanmoins précisé que les émeutiers ne représentaient qu'"une toute petite minorité" des Tibétains et que les moines qui avaient participé aux manifestations n'étaient de même qu'"une toute petite minorité" du clergé bouddhiste.
"Ils ne représentent pas, ils ne peuvent pas représenter le Tibet et la communauté tibétaine", a-t-il ajouté.
La Chine a imputé au chef spirituel des Tibétains en exil, le dalaï lama, des manifestations menées par des moines qui ont dégénéré en violences à Lhassa, capitale du Tibet, le mois dernier. Le dalaï lama, exilé en Inde depuis 1959, a rejeté ces accusations.
Les troubles se sont propagés à des provinces chinoises voisines abritant d'importantes populations tibétaines.
Le gouvernement a promis la clémence aux émeutiers qui se rendraient à la police. Selon Qiangba Puncog, 362 personnes se sont ainsi rendues.
Parmi eux, 328 ont été relâchés, au motif que leur faute était légère et qu'ils avaient fait preuve d'une "bonne attitude" en la confessant. On ignore si les 34 autres font partie des 953 détenus.
La police a également émis des mandats d'arrêt contre 93 suspects dont treize ont été capturés et neuf se sont rendus, a-t-on appris de même source.
Source: yahoo news
Il a néanmoins précisé que les émeutiers ne représentaient qu'"une toute petite minorité" des Tibétains et que les moines qui avaient participé aux manifestations n'étaient de même qu'"une toute petite minorité" du clergé bouddhiste.
"Ils ne représentent pas, ils ne peuvent pas représenter le Tibet et la communauté tibétaine", a-t-il ajouté.
La Chine a imputé au chef spirituel des Tibétains en exil, le dalaï lama, des manifestations menées par des moines qui ont dégénéré en violences à Lhassa, capitale du Tibet, le mois dernier. Le dalaï lama, exilé en Inde depuis 1959, a rejeté ces accusations.
Les troubles se sont propagés à des provinces chinoises voisines abritant d'importantes populations tibétaines.
Le gouvernement a promis la clémence aux émeutiers qui se rendraient à la police. Selon Qiangba Puncog, 362 personnes se sont ainsi rendues.
Parmi eux, 328 ont été relâchés, au motif que leur faute était légère et qu'ils avaient fait preuve d'une "bonne attitude" en la confessant. On ignore si les 34 autres font partie des 953 détenus.
La police a également émis des mandats d'arrêt contre 93 suspects dont treize ont été capturés et neuf se sont rendus, a-t-on appris de même source.
Source: yahoo news
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