C'est devenu un geste emblématique de la fin de la présidence Bush : le jet de chaussures en direction du président des Etats-Unis, dimanche dernier à Bagdad. C'est un journaliste irakien qui a ainsi exprimé sa colère. Il est en détention et risque plusieurs années de prison.
D'abord des nouvelles des chaussures : elles ont été détruites. Les services de sécurité américains et irakiens les ont disséquées pour s'assurer qu'elles ne contenaient pas d'explosif.
La disparition des projectiles improvisés a déçu l'avocat du journaliste irakien qui les a jeté dimanche en direction de George Bush : « Ces chaussures étaient saintes, elles avaient pris beaucoup de valeur », explique l'avocat.
Quand au propriétaire des chaussures, Mountazer Al Zaidi, « il est en bonne santé », dit le juge d'instruction en charge de l'affaire. Mais la demande de remise en liberté sous caution du journaliste a été rejetée. A Bagdad, le gouvernement assure que le jeune homme a écrit une lettre pour s'excuser de son geste.
Enfin ce lancer de chaussures continue à faire des vagues dans le monde entier. En Irak, le comité des oulémas sunnites a qualifié le jeune homme « d'icône de la résistance contre l'occupation ».
Les chaussures volantes ont également été évoquées lors du sommet des chefs d'Etat latino-américains au Brésil, où le président Lula a plaisanté en demandant aux journalistes présents de ne pas se déchausser.
Dans tout le Proche et le Moyen-Orient, on ne compte plus les chausseurs qui revendiquent la paternité de la célèbre paire.
Enfin en Egypte, un homme aurait proposé que sa fille de 20 ans épouse le jeune journaliste irakien.
Source: Dabio
D'abord des nouvelles des chaussures : elles ont été détruites. Les services de sécurité américains et irakiens les ont disséquées pour s'assurer qu'elles ne contenaient pas d'explosif.
La disparition des projectiles improvisés a déçu l'avocat du journaliste irakien qui les a jeté dimanche en direction de George Bush : « Ces chaussures étaient saintes, elles avaient pris beaucoup de valeur », explique l'avocat.
Quand au propriétaire des chaussures, Mountazer Al Zaidi, « il est en bonne santé », dit le juge d'instruction en charge de l'affaire. Mais la demande de remise en liberté sous caution du journaliste a été rejetée. A Bagdad, le gouvernement assure que le jeune homme a écrit une lettre pour s'excuser de son geste.
Enfin ce lancer de chaussures continue à faire des vagues dans le monde entier. En Irak, le comité des oulémas sunnites a qualifié le jeune homme « d'icône de la résistance contre l'occupation ».
Les chaussures volantes ont également été évoquées lors du sommet des chefs d'Etat latino-américains au Brésil, où le président Lula a plaisanté en demandant aux journalistes présents de ne pas se déchausser.
Dans tout le Proche et le Moyen-Orient, on ne compte plus les chausseurs qui revendiquent la paternité de la célèbre paire.
Enfin en Egypte, un homme aurait proposé que sa fille de 20 ans épouse le jeune journaliste irakien.
Source: Dabio
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