Un total de 20.581 cas suspects ont été diagnostiqués dans tout le pays, selon les chiffres du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (OCHA).
Le précédent bilan de l'ONU établi lundi dernier faisait état de 978 morts et de 18.413 cas suspects diagnostiqués dans tout le pays.
La région la plus touchée reste la capitale, Harare, avec 224 morts pour 9.072 cas diagnostiqués, suivie par la ville de Beitbridge, à la frontière sud-africaine, où l'épidémie a tué 99 personnes (3.546 cas diagnostiqués).
Depuis août, la maladie qui se transmet par les eaux usées ne cesse de progresser et les organisations internationales ont du mal à répondre aux besoins croissants de la population.
L'épidémie pourrait encore empirer avec l'arrivée de la saison des pluies dans un pays où les infrastructures de distribution d'eau potable et d'égouts sont dans un état déplorable.
Les agences humanitaires de l'ONU qui estiment que cette épidémie est "sans précédent" au Zimbabwe, ont insisté à plusieurs reprises sur le fait que leurs statistiques ne reflètent qu'une partie de la situation et que les malades et les décès sont certainement plus nombreux.
Dans le pire des scénarios, jusqu'à 60.000 personnes sont menacées de contracter la maladie, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (Unicef), les deux organisations qui pilotent les opérations onusiennes contre l'épidémie.
Source: Yahoo News
Le précédent bilan de l'ONU établi lundi dernier faisait état de 978 morts et de 18.413 cas suspects diagnostiqués dans tout le pays.
La région la plus touchée reste la capitale, Harare, avec 224 morts pour 9.072 cas diagnostiqués, suivie par la ville de Beitbridge, à la frontière sud-africaine, où l'épidémie a tué 99 personnes (3.546 cas diagnostiqués).
Depuis août, la maladie qui se transmet par les eaux usées ne cesse de progresser et les organisations internationales ont du mal à répondre aux besoins croissants de la population.
L'épidémie pourrait encore empirer avec l'arrivée de la saison des pluies dans un pays où les infrastructures de distribution d'eau potable et d'égouts sont dans un état déplorable.
Les agences humanitaires de l'ONU qui estiment que cette épidémie est "sans précédent" au Zimbabwe, ont insisté à plusieurs reprises sur le fait que leurs statistiques ne reflètent qu'une partie de la situation et que les malades et les décès sont certainement plus nombreux.
Dans le pire des scénarios, jusqu'à 60.000 personnes sont menacées de contracter la maladie, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (Unicef), les deux organisations qui pilotent les opérations onusiennes contre l'épidémie.
Source: Yahoo News
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