Des extraits d'une vidéo d'aveux de Michel Fourniret et de son épouse et complice présumée Monique Olivier, filmés par la police belge en 2004, a commencé a être diffusée mardi devant la Cour d'assises des Ardennes lors de l'examen du meurtre d'Elisabeth Brichet.
"C'est une technique récente en Belgique. Cela permet de voir les expressions, les mimiques, les attitudes qui peuvent compléter un texte sec" de procès verbal, a expliqué Me Jean-Maurice Arnould, l'avocat belge de Marie-Noëlle Bouzet, la mère de la victime.
"Ce n'est pas une pièce à conviction, c'est une pièce du dossier", a-t-il ajouté.
En Belgique, la loi du 2 août 2002 permet de filmer les interrogatoires de suspects sur autorisation du juge d'instruction.
Depuis lundi, la Cour d'assises examine l'enlèvement et le meurtre d'Elisabeth Brichet, une adolescente belge de 12 ans, disparue près de Namur (Belgique) le 20 décembre 1989.
Michel Fourniret a reconnu lundi, mais sans en dire plus, le meurtre de la fillette, dont la mère est venue à la barre dénoncer "l'incurie" des justices belge et française.
En début d'audience, l'accusé a reconnu l'enlèvement et le meurtre de l'adolescente. Il a néanmoins contesté la tentative de viol, comme il l'avait fait lors de l'instruction en revenant sur ses premiers aveux. Dans ce dossier, son épouse Monique Olivier, qui a également reconnu les faits, est renvoyée pour complicité.
Comme d'autres confrères avant lui depuis le début du procès, l'avocat du père d'Elisabeth a tenté d'amorcer un dialogue avec l'accusé, sans résultat. A Me Paul Lombard, qui lui demandait de "tracer un portrait" de la jeune fille, Fourniret a répondu, après une brève hésitation, en réitérant son exigence de huis clos.
L'adolescente belge, la plus jeune des sept victimes que Michel Fourniret est accusé d'avoir violé ou tenté de violer puis tué, avait été enlevée le 20 décembre 1989 dans la banlieue de Namur (Belgique). Elle rentrait chez elle à pied après avoir passé l'après-midi chez une amie.
Selon l'accusation, Michel Fourniret l'aurait abordée et convaincu de monter dans son véhicule au prétexte de la recherche d'un médecin. Il aurait tenté une première fois de la violer à son domicile à Floing (Ardennes) où se trouvait son épouse.
Le lendemain, il l'aurait transportée dans le coffre de sa voiture avec Monique Olivier jusqu'au chateau du Sautou à Donchery, l'ancienne propriété du couple, où il aurait une nouvelle fois essayé de la violer. Il l'aurait ensuite étranglée après avoir tenté de l'étouffer avec un sac plastique.
Son corps n'avait été découvert qu'en juillet 2004 lors de fouilles effectuées dans le parc du domaine du Sautou sur les indications de Fourniret.
Le meurtre d'Elisabeth Brichet est le seul qui concerne une victime belge.
En juin 2005, un accord entre les justices belge et française avait permis que les sept dossiers actuellement jugés soient regroupés en France pour un procès unique "franco-belge" à Charleville-Mézières.
Source: news.yahoo.com
"C'est une technique récente en Belgique. Cela permet de voir les expressions, les mimiques, les attitudes qui peuvent compléter un texte sec" de procès verbal, a expliqué Me Jean-Maurice Arnould, l'avocat belge de Marie-Noëlle Bouzet, la mère de la victime.
"Ce n'est pas une pièce à conviction, c'est une pièce du dossier", a-t-il ajouté.
En Belgique, la loi du 2 août 2002 permet de filmer les interrogatoires de suspects sur autorisation du juge d'instruction.
Depuis lundi, la Cour d'assises examine l'enlèvement et le meurtre d'Elisabeth Brichet, une adolescente belge de 12 ans, disparue près de Namur (Belgique) le 20 décembre 1989.
Michel Fourniret a reconnu lundi, mais sans en dire plus, le meurtre de la fillette, dont la mère est venue à la barre dénoncer "l'incurie" des justices belge et française.
En début d'audience, l'accusé a reconnu l'enlèvement et le meurtre de l'adolescente. Il a néanmoins contesté la tentative de viol, comme il l'avait fait lors de l'instruction en revenant sur ses premiers aveux. Dans ce dossier, son épouse Monique Olivier, qui a également reconnu les faits, est renvoyée pour complicité.
Comme d'autres confrères avant lui depuis le début du procès, l'avocat du père d'Elisabeth a tenté d'amorcer un dialogue avec l'accusé, sans résultat. A Me Paul Lombard, qui lui demandait de "tracer un portrait" de la jeune fille, Fourniret a répondu, après une brève hésitation, en réitérant son exigence de huis clos.
L'adolescente belge, la plus jeune des sept victimes que Michel Fourniret est accusé d'avoir violé ou tenté de violer puis tué, avait été enlevée le 20 décembre 1989 dans la banlieue de Namur (Belgique). Elle rentrait chez elle à pied après avoir passé l'après-midi chez une amie.
Selon l'accusation, Michel Fourniret l'aurait abordée et convaincu de monter dans son véhicule au prétexte de la recherche d'un médecin. Il aurait tenté une première fois de la violer à son domicile à Floing (Ardennes) où se trouvait son épouse.
Le lendemain, il l'aurait transportée dans le coffre de sa voiture avec Monique Olivier jusqu'au chateau du Sautou à Donchery, l'ancienne propriété du couple, où il aurait une nouvelle fois essayé de la violer. Il l'aurait ensuite étranglée après avoir tenté de l'étouffer avec un sac plastique.
Son corps n'avait été découvert qu'en juillet 2004 lors de fouilles effectuées dans le parc du domaine du Sautou sur les indications de Fourniret.
Le meurtre d'Elisabeth Brichet est le seul qui concerne une victime belge.
En juin 2005, un accord entre les justices belge et française avait permis que les sept dossiers actuellement jugés soient regroupés en France pour un procès unique "franco-belge" à Charleville-Mézières.
Source: news.yahoo.com
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