Le tribunal administratif de Poitiers avait ordonné le 4 mai 2005 au ministère de la Défense et à la Caisse des Dépôts et Consignations de prendre "toutes mesures permettant à M. Saïm de percevoir une pension décristallisée avec régularisation à compter du 2 août 1975", soit l'équivalent de 30 années d'arriérés.
L'homme est décédé en janvier 2005 en Algérie "dans le dénuement le plus total", avait indiqué à l'époque du procès son avocat Me Baghdad Hemaz.
Tahar Saïm, qui avait été appelé sous les drapeaux le 20 octobre 1937 alors que l'Algérie était encore française, avait combattu jusqu'au 30 juin 1945. Il avait été fait prisonnier de juin 1940 à septembre 1942, et avait ensuite rejoint les Forces libres.
L'homme est décédé en janvier 2005 en Algérie "dans le dénuement le plus total", avait indiqué à l'époque du procès son avocat Me Baghdad Hemaz.
Tahar Saïm, qui avait été appelé sous les drapeaux le 20 octobre 1937 alors que l'Algérie était encore française, avait combattu jusqu'au 30 juin 1945. Il avait été fait prisonnier de juin 1940 à septembre 1942, et avait ensuite rejoint les Forces libres.