Bernard Kouchner a annoncé, lundi 14 juillet, que le texte final du sommet sur l'UPM devait "être encore un peu corrigé" en raison d'un "dernier moment de blocage entre les Israéliens et les Palestiniens".
"Au dernier moment, nous avons échoué, peut-être à une demi-heure près sur un mot", a déclaré sur Europe-1 le ministre des Affaires étrangères, précisant que le point d'achoppement résidait dans le concept de "l'Etat-nation, l'Etat national et démocratique".
"National, ça sous-entend toute une difficulté de retour des réfugiés, d'Etat juif ou pas juif, d'Etat palestinien", a expliqué Bernard Kouchner.
"Le processus de paix s'il va bien au sommet, il ne va pas bien à la base", a averti par ailleurs Bernard Kouchner, citant notamment les "difficultés de circulation en Palestine".
Le ministre des Affaires étrangères s'est félicité néanmoins du lancement de l'UPM en présence des dirigeants de 43 pays, un sommet qui s'est déroulé selon lui "avec la paix en arrière fond".
La déclaration finale d'une dizaine de pages adoptée dimanche ne fait pas de référence directe au concept d'Etat-nation et renvoie à ce sujet aux conclusions de la réunion de Lisbonne de novembre 2007, ainsi qu'au processus d'Annapolis
Source: Nouvel Observateur
"Au dernier moment, nous avons échoué, peut-être à une demi-heure près sur un mot", a déclaré sur Europe-1 le ministre des Affaires étrangères, précisant que le point d'achoppement résidait dans le concept de "l'Etat-nation, l'Etat national et démocratique".
"National, ça sous-entend toute une difficulté de retour des réfugiés, d'Etat juif ou pas juif, d'Etat palestinien", a expliqué Bernard Kouchner.
"Le processus de paix s'il va bien au sommet, il ne va pas bien à la base", a averti par ailleurs Bernard Kouchner, citant notamment les "difficultés de circulation en Palestine".
Le ministre des Affaires étrangères s'est félicité néanmoins du lancement de l'UPM en présence des dirigeants de 43 pays, un sommet qui s'est déroulé selon lui "avec la paix en arrière fond".
La déclaration finale d'une dizaine de pages adoptée dimanche ne fait pas de référence directe au concept d'Etat-nation et renvoie à ce sujet aux conclusions de la réunion de Lisbonne de novembre 2007, ainsi qu'au processus d'Annapolis
Source: Nouvel Observateur
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