"Le président Kaczynski est un homme honnête et c'est un homme d'Etat: il a signé à Bruxelles, il doit ratifier à Varsovie, c'est une question de morale", a déclaré M. Sarkozy, qui a pris les rênes mardi de l'Union européenne.
"J'ai confiance dans le président polonais. Nous nous verrons, nous trouverons des solutions. La Pologne doit honorer sa signature", a-t-il insisté.
Vendredi, lors d'un entretien téléphonique avec son homologue polonais, M. Sarkozy lui avait rappelé "que le traité avait été négocié" par lui-même (en octobre 2007) et que "la Pologne s'était engagée à le ratifier", selon la présidence française.
Le président polonais avait alors affirmé que la Pologne ne serait "pas un obstacle dans la ratification du traité", selon la même source.
Lech Kaczynski avait déclaré mercredi qu'il ne ratifierait le traité européen de Lisbonne que si l'Irlande l'approuvait dans un nouveau référendum.
Toujours au cours du Conseil national de l'UMP, le président de la Commission européenne José Manuel Barroso et le président allemand du Parlement européen, Hans-Gert Pöttering ont appelé à parachever le processus de ratification du traité.
Jose >Man"Ils nous faut faire un effort, collectivement, pour terminer le processus de ratification", a lancé à la tribune M. Barroso, qui s'exprimait en français devant quelque 2.000 cadres de l'UMP.
"Une fois terminé ce processus, nous pourrons discuter avec nos amis irlandais", a-t-il poursuivi.
M. Barroso a assuré que "face aux défis globaux", l'Europe a besoin de "réponses globales" pour poursuivre "ce parcours à 27", avant de citer le proverbe: "si vous voulez aller vite, partez seul, si vous voulez aller loin, partez ensemble".
"La vérité, c'est que la concurrence sera de plus en plus forte, notamment avec les puissances asiatiques. Il nous faut moderniser notre modèle social et notre économie", a poursuivi M. Barroso, exprimant son soutien aux réformes engagées en France par Nicolas Sarkozy.
Peu avant, M. Pöttering, qui s'exprimait également en français, avait rappelé "à leurs responsabilités tous les pays (de l'UE) qui ont signé mais pas encore ratifié le traité de Lisbonne".
"Aussi respectable que soit le +non+ irlandais, il convient tout autant de respecter les Etats qui ont déjà ratifié le traité", sans lequel "il n'y aura pas de renforcement de la représentation démocratique des citoyens", a-t-il ajouté.
Le traité de Lisbonne "donne à l'Europe une plus grande capacité d'action pour la rendre plus démocratique et transparente", a-t-il déclaré, ajoutant qu'"aussi longtemps que le traité n'est pas entré en vigueur, il ne peut y avoir de nouvelles adhésions à l'UE".
Source: Yahoo News
"J'ai confiance dans le président polonais. Nous nous verrons, nous trouverons des solutions. La Pologne doit honorer sa signature", a-t-il insisté.
Vendredi, lors d'un entretien téléphonique avec son homologue polonais, M. Sarkozy lui avait rappelé "que le traité avait été négocié" par lui-même (en octobre 2007) et que "la Pologne s'était engagée à le ratifier", selon la présidence française.
Le président polonais avait alors affirmé que la Pologne ne serait "pas un obstacle dans la ratification du traité", selon la même source.
Lech Kaczynski avait déclaré mercredi qu'il ne ratifierait le traité européen de Lisbonne que si l'Irlande l'approuvait dans un nouveau référendum.
Toujours au cours du Conseil national de l'UMP, le président de la Commission européenne José Manuel Barroso et le président allemand du Parlement européen, Hans-Gert Pöttering ont appelé à parachever le processus de ratification du traité.
Jose >Man"Ils nous faut faire un effort, collectivement, pour terminer le processus de ratification", a lancé à la tribune M. Barroso, qui s'exprimait en français devant quelque 2.000 cadres de l'UMP.
"Une fois terminé ce processus, nous pourrons discuter avec nos amis irlandais", a-t-il poursuivi.
M. Barroso a assuré que "face aux défis globaux", l'Europe a besoin de "réponses globales" pour poursuivre "ce parcours à 27", avant de citer le proverbe: "si vous voulez aller vite, partez seul, si vous voulez aller loin, partez ensemble".
"La vérité, c'est que la concurrence sera de plus en plus forte, notamment avec les puissances asiatiques. Il nous faut moderniser notre modèle social et notre économie", a poursuivi M. Barroso, exprimant son soutien aux réformes engagées en France par Nicolas Sarkozy.
Peu avant, M. Pöttering, qui s'exprimait également en français, avait rappelé "à leurs responsabilités tous les pays (de l'UE) qui ont signé mais pas encore ratifié le traité de Lisbonne".
"Aussi respectable que soit le +non+ irlandais, il convient tout autant de respecter les Etats qui ont déjà ratifié le traité", sans lequel "il n'y aura pas de renforcement de la représentation démocratique des citoyens", a-t-il ajouté.
Le traité de Lisbonne "donne à l'Europe une plus grande capacité d'action pour la rendre plus démocratique et transparente", a-t-il déclaré, ajoutant qu'"aussi longtemps que le traité n'est pas entré en vigueur, il ne peut y avoir de nouvelles adhésions à l'UE".
Source: Yahoo News
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