"Le bilan est d'environ 140 morts", a déclaré Samdhong Rinpoche.
"C'est le bilan arrêté lundi soir et qui inclut l'ensemble du Tibet".
Un précédent décompte communiqué lundi matin par M. Rinpoche et qualifié de son aveu "d'invérifiable", faisait état de 130 morts.
"Ce chiffre provient de nos sources au Tibet", a ajouté le Premier ministre depuis la localité de Dharamsala située dans le nord de l'Inde où vit le dalaï lama, chef spirituel des Tibétains.
Le dernier bilan officiel de Pékin des émeutes a fait était de 19 morts, dont 18 civils "innocents" et un policier.
Ces informations sont difficilement vérifiables, en raison des restrictions imposées par Pékin aux journalistes pour l'accès au Tibet et aux provinces limitrophes.
Les manifestations ont commencé le 10 mars à l'occasion de l'anniversaire du soulèvement de 1959 contre le pouvoir chinois. Le 14 mars, des émeutes ont éclaté à Lhassa avant de se propager dans les provinces voisines à fortes minorités tibétaines.
Les autorités chinoises accusent le dalaï lama d'avoir fomenté ces troubles afin de "saboter" les jeux Olympiques qui se dérouleront à Pékin en août, affirmations rejetées par le chef religieux.
Le dalaï lama n'a cessé de s'opposer à la violence, et de réclamer plus d'autonomie pour le Tibet au sein de la Chine, mais pas l'indépendance.
Au Népal au moins 400 personnes, dont une majorité de Tibétains, ont été arrêtées lundi lors de trois manifestations distinctes à Katmandou, contre la politique répressive de la Chine au Tibet.
En Grèce à Olympie, des militants de l'association Reporters sans Frontières (RSF) ont réussi à perturber la cérémonie d'allumage de la flamme des jeux Olympiques de Pékin, malgré un important dispositif policier.
Trois hommes, dont le secrétaire général de RSF, Robert Ménard, ont tenté de s'approcher de la tribune pendant le discours du responsable chinois du Comité d'organisation des jeux (Bocog), Qi Liu.
L'un d'eux a eu le temps de déployer une banderole sur laquelle était inscrit "Boycottez le pays qui piétine les droits de l'Homme". Un autre a crié de derrière la tribune officielle "liberté, liberté". Ils ont été interpellés.
"Nous continuerons des actions comme ça jusqu'au 8 août", date de l'ouverture des jeux de Pékin, a promis Robert Ménard, le dirigeant de l'ONG française.
yahoo.com
"C'est le bilan arrêté lundi soir et qui inclut l'ensemble du Tibet".
Un précédent décompte communiqué lundi matin par M. Rinpoche et qualifié de son aveu "d'invérifiable", faisait état de 130 morts.
"Ce chiffre provient de nos sources au Tibet", a ajouté le Premier ministre depuis la localité de Dharamsala située dans le nord de l'Inde où vit le dalaï lama, chef spirituel des Tibétains.
Le dernier bilan officiel de Pékin des émeutes a fait était de 19 morts, dont 18 civils "innocents" et un policier.
Ces informations sont difficilement vérifiables, en raison des restrictions imposées par Pékin aux journalistes pour l'accès au Tibet et aux provinces limitrophes.
Les manifestations ont commencé le 10 mars à l'occasion de l'anniversaire du soulèvement de 1959 contre le pouvoir chinois. Le 14 mars, des émeutes ont éclaté à Lhassa avant de se propager dans les provinces voisines à fortes minorités tibétaines.
Les autorités chinoises accusent le dalaï lama d'avoir fomenté ces troubles afin de "saboter" les jeux Olympiques qui se dérouleront à Pékin en août, affirmations rejetées par le chef religieux.
Le dalaï lama n'a cessé de s'opposer à la violence, et de réclamer plus d'autonomie pour le Tibet au sein de la Chine, mais pas l'indépendance.
Au Népal au moins 400 personnes, dont une majorité de Tibétains, ont été arrêtées lundi lors de trois manifestations distinctes à Katmandou, contre la politique répressive de la Chine au Tibet.
En Grèce à Olympie, des militants de l'association Reporters sans Frontières (RSF) ont réussi à perturber la cérémonie d'allumage de la flamme des jeux Olympiques de Pékin, malgré un important dispositif policier.
Trois hommes, dont le secrétaire général de RSF, Robert Ménard, ont tenté de s'approcher de la tribune pendant le discours du responsable chinois du Comité d'organisation des jeux (Bocog), Qi Liu.
L'un d'eux a eu le temps de déployer une banderole sur laquelle était inscrit "Boycottez le pays qui piétine les droits de l'Homme". Un autre a crié de derrière la tribune officielle "liberté, liberté". Ils ont été interpellés.
"Nous continuerons des actions comme ça jusqu'au 8 août", date de l'ouverture des jeux de Pékin, a promis Robert Ménard, le dirigeant de l'ONG française.
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