"Nous avons toujours un peu de difficultés à avoir une évaluation globale, mais nous avons enregistré plus de 1.600 personnes qui ont pris contact avec l'ambassade et qui sont en attente d'un départ dans les prochains jours", a dit M. Bili.
"Il y a bien sûr des situations personnelles fortes, mais nous n'avons pas d'inquiétudes pour la sécurité des Français et il n'y a pas de risques pour leur sécurité pour le moment", a-t-il ajouté.
L'ambassade de France à Bangkok, qui a mis en place une cellule de crise, reste toutefois prudente sur le nombre exact de Français encore bloqués en Thaïlande.
"Le problème est qu'il y a 30 compagnies aériennes et que, dans certains cas, elles n'ont pas noté les nationalités et certaines d'entre elles sont aux abonnés absents", a précisé M. Bili, ajoutant: "Nous essayons de vérifier de manière plus fine avec les services d'immigration thaïlandais combien de Français sont rentrés".
Interrogé sur le point de savoir ce que les Français devaient faire s'ils cherchaient à partir à tout prix et rapidement, alors que des départs sont organisés depuis d'autres villes de Thaïlande, l'ambassadeur a répondu: "le premier conseil que je leur donne est d'être en contact avec leurs compagnies (aériennes)".
"Il ne faut surtout pas aller à Chiang Mai (nord) ou à Phuket (sud) sans vérifier. Le conseil de base, c'est d'abord de sécuriser son vol avec sa compagnie aérienne et, ensuite, de se rendre sur un lieu d'embarquement dans les villes de province".
Une base militaire, celle d'U-Tapao, au sud-est de Bangkok, est exploitée par certaines compagnies pour des opérations d'évacuation, mais "Air France a préféré le site de Phuket qui est plus aux normes internationales", a précisé l'ambassadeur.
Il a rappelé que la situation aérienne n'était pas totalement bloquée: "Il y a déjà quand même beaucoup de flux".
"Nous avons des vols réguliers qui sont déjà partis, avec un vol d'Air France qui a évacué 380 personnes et un vol de la Thai Airways samedi, qui a évacué 150 personnes. Nous avons un autre vol d'Air France ce soir de Phuket qui va permettre de faire partir le même nombre de ressortissants et la même chose demain. Il y a aussi des ressortissants qui ont pu partir depuis U-Tapao et Chiang Mai sur d'autres compagnies".
Le gouvernement français a décidé d'affréter un avion gros porteur pour aider ses ressortissants, en complément des efforts des compagnies aériennes.
"Ce vol pourrait permettre d'emporter plus de 500 passagers", a indiqué M. Bili en précisant que "différentes options" étaient à l'étude pour le choix de l'aéroport thaïlandais qui "doit offrir toutes les garanties de sécurité", a dit M. Bili.
Source: Yahoo News
"Il y a bien sûr des situations personnelles fortes, mais nous n'avons pas d'inquiétudes pour la sécurité des Français et il n'y a pas de risques pour leur sécurité pour le moment", a-t-il ajouté.
L'ambassade de France à Bangkok, qui a mis en place une cellule de crise, reste toutefois prudente sur le nombre exact de Français encore bloqués en Thaïlande.
"Le problème est qu'il y a 30 compagnies aériennes et que, dans certains cas, elles n'ont pas noté les nationalités et certaines d'entre elles sont aux abonnés absents", a précisé M. Bili, ajoutant: "Nous essayons de vérifier de manière plus fine avec les services d'immigration thaïlandais combien de Français sont rentrés".
Interrogé sur le point de savoir ce que les Français devaient faire s'ils cherchaient à partir à tout prix et rapidement, alors que des départs sont organisés depuis d'autres villes de Thaïlande, l'ambassadeur a répondu: "le premier conseil que je leur donne est d'être en contact avec leurs compagnies (aériennes)".
"Il ne faut surtout pas aller à Chiang Mai (nord) ou à Phuket (sud) sans vérifier. Le conseil de base, c'est d'abord de sécuriser son vol avec sa compagnie aérienne et, ensuite, de se rendre sur un lieu d'embarquement dans les villes de province".
Une base militaire, celle d'U-Tapao, au sud-est de Bangkok, est exploitée par certaines compagnies pour des opérations d'évacuation, mais "Air France a préféré le site de Phuket qui est plus aux normes internationales", a précisé l'ambassadeur.
Il a rappelé que la situation aérienne n'était pas totalement bloquée: "Il y a déjà quand même beaucoup de flux".
"Nous avons des vols réguliers qui sont déjà partis, avec un vol d'Air France qui a évacué 380 personnes et un vol de la Thai Airways samedi, qui a évacué 150 personnes. Nous avons un autre vol d'Air France ce soir de Phuket qui va permettre de faire partir le même nombre de ressortissants et la même chose demain. Il y a aussi des ressortissants qui ont pu partir depuis U-Tapao et Chiang Mai sur d'autres compagnies".
Le gouvernement français a décidé d'affréter un avion gros porteur pour aider ses ressortissants, en complément des efforts des compagnies aériennes.
"Ce vol pourrait permettre d'emporter plus de 500 passagers", a indiqué M. Bili en précisant que "différentes options" étaient à l'étude pour le choix de l'aéroport thaïlandais qui "doit offrir toutes les garanties de sécurité", a dit M. Bili.
Source: Yahoo News
À lire également :
-
L'implication de la Chine dans la situation socio-économique en Asie du Sud-Est
-
L'escalade Militaire de la Corée du Nord : Analyse de la Résurgence des Tensions
-
Ekaterina Dountsova : Portrait de la Femme Défiant Poutine dans la Course Présidentielle
-
Tragédie sismique au Népal : Une nation en deuil
-
Agression à grande échelle au Haut-Karabagh