Un éventuel recours contre la décision rendue par un tribunal arbitral dans l'affaire Tapie serait décidé lundi, a indiqué Bercy tout en précisant que cette hypothèse était faible.
Bernard Tapie "a de quoi vivre maintenant avec de l'argent public qui a été décidé par une justice commerciale; on a besoin de savoir comment on s'est retrouvé à donner des centaines de millions d'euros à M. Tapie. Ca fait beaucoup, beaucoup", a déclaré M. Moscovici sur France Inter.
L'ancien ministre s'est dit "extrêmement troublé" par cette affaire. "Il faut savoir exactement quelles ont été les instructions données et pourquoi, quel a été le rôle de Nicolas Sarkozy, le rôle du ministère des Finances, et comment on a choisi la justice arbitrale et pas la justice tout court", a poursuivi M. Moscovici.
"Après une décision de justice, on s'est tourné vers une justice arbitrale qui est une justice commerciale", "plus favorable au milieu des affaires", et "on l'a fait sur la pression apparemment de Nicolas Sarkozy et en tout cas du ministère des Finances", a-t-il assuré.
"Je dis qu'il y a eu là-dedans une intervention du politique en faveur de Bernard Tapie", a-t-il encore affirmé.
Selon le député du Doubs, "on est frappé de voir la coïncidence entre le soutien que Bernard Tapie ne cesse d'apporter à Nicolas Sarkozy et le soutien que Nicolas Sarkozy apporte à Bernard Tapie".
Un tribunal arbitral, formé de trois personnalités, a condamné le 11 juillet le CDR, structure publique qui gère le passif du Crédit Lyonnais, à verser 285 millions d'euros aux liquidateurs du groupe Bernard Tapie qui s'estimait floué d'une plus-value importante réalisée par la banque lors de la vente d'Adidas.
La création d'une commission d'enquête parlementaire, demandée par les députés PS, nécessite un vote à la majorité en séance publique à l'Assemblée. Ce vote ne pourra intervenir avant le début de la prochaine session ordinaire, à l'automne.
Source: Yahoo News
Bernard Tapie "a de quoi vivre maintenant avec de l'argent public qui a été décidé par une justice commerciale; on a besoin de savoir comment on s'est retrouvé à donner des centaines de millions d'euros à M. Tapie. Ca fait beaucoup, beaucoup", a déclaré M. Moscovici sur France Inter.
L'ancien ministre s'est dit "extrêmement troublé" par cette affaire. "Il faut savoir exactement quelles ont été les instructions données et pourquoi, quel a été le rôle de Nicolas Sarkozy, le rôle du ministère des Finances, et comment on a choisi la justice arbitrale et pas la justice tout court", a poursuivi M. Moscovici.
"Après une décision de justice, on s'est tourné vers une justice arbitrale qui est une justice commerciale", "plus favorable au milieu des affaires", et "on l'a fait sur la pression apparemment de Nicolas Sarkozy et en tout cas du ministère des Finances", a-t-il assuré.
"Je dis qu'il y a eu là-dedans une intervention du politique en faveur de Bernard Tapie", a-t-il encore affirmé.
Selon le député du Doubs, "on est frappé de voir la coïncidence entre le soutien que Bernard Tapie ne cesse d'apporter à Nicolas Sarkozy et le soutien que Nicolas Sarkozy apporte à Bernard Tapie".
Un tribunal arbitral, formé de trois personnalités, a condamné le 11 juillet le CDR, structure publique qui gère le passif du Crédit Lyonnais, à verser 285 millions d'euros aux liquidateurs du groupe Bernard Tapie qui s'estimait floué d'une plus-value importante réalisée par la banque lors de la vente d'Adidas.
La création d'une commission d'enquête parlementaire, demandée par les députés PS, nécessite un vote à la majorité en séance publique à l'Assemblée. Ce vote ne pourra intervenir avant le début de la prochaine session ordinaire, à l'automne.
Source: Yahoo News
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