Les députés ont rejeté une proposition de loi socialiste qui visait à prendre en compte le temps de parole du chef de l'État et de ses collaborateurs par le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA).
Le groupe socialiste, radical et citoyen (SRC), que préside Jean-Marc Ayrault, présentait, avec le soutien du groupe de la gauche démocrate et républicaine (GDR, PC et Verts), cette proposition de loi dans le cadre d'une initiative parlementaire réservée aux socialistes.
"Le rôle du président de la République a évolué dans sa nature et également dans l'importance de ses interventions télévisées", a souligné le socialiste Patrick Bloche pour expliquer les raisons de ce texte.
Laurent Fabius (PS) est intervenu dans le débat pour affirmer que "la question de l'audiovisuel est devenue tellement décisive dans une démocratie, tellement décisive pour revaloriser le rôle du Parlement" que "cette question-là sera un élément qui nous fera pencher dans le sens du oui ou dans le sens du non" à la réforme des institutions.
"Cette proposition de loi me semble à la fois contraire à l'esprit de nos institutions, extrêmement difficile à traduire dans la pratique, anachronique dans sa conception du débat démocratique mais aussi discutable dans ses intentions", a déclaré Christine Albanel, la ministre de la Culture et de la Communication.
La proposition de loi proposait que le CSA comptabilise le temps de parole du président de la République et de ses collaborateurs dans le but de "garantir le pluralisme du temps de parole dans les médias audiovisuels".
Source: news.yahoo.com
Le groupe socialiste, radical et citoyen (SRC), que préside Jean-Marc Ayrault, présentait, avec le soutien du groupe de la gauche démocrate et républicaine (GDR, PC et Verts), cette proposition de loi dans le cadre d'une initiative parlementaire réservée aux socialistes.
"Le rôle du président de la République a évolué dans sa nature et également dans l'importance de ses interventions télévisées", a souligné le socialiste Patrick Bloche pour expliquer les raisons de ce texte.
Laurent Fabius (PS) est intervenu dans le débat pour affirmer que "la question de l'audiovisuel est devenue tellement décisive dans une démocratie, tellement décisive pour revaloriser le rôle du Parlement" que "cette question-là sera un élément qui nous fera pencher dans le sens du oui ou dans le sens du non" à la réforme des institutions.
"Cette proposition de loi me semble à la fois contraire à l'esprit de nos institutions, extrêmement difficile à traduire dans la pratique, anachronique dans sa conception du débat démocratique mais aussi discutable dans ses intentions", a déclaré Christine Albanel, la ministre de la Culture et de la Communication.
La proposition de loi proposait que le CSA comptabilise le temps de parole du président de la République et de ses collaborateurs dans le but de "garantir le pluralisme du temps de parole dans les médias audiovisuels".
Source: news.yahoo.com
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