Depuis quelques temps, le pouvoir de N'djamèna maugréé à longueur de journée en indexant le soudan sur une attitude qu'il a lui-même construit depuis les années 2003, en montant de toutes pièces une rébellion au Tchad contre le Soudan.
Cette attitude a créée la tragédie du Darfour que tout le monde connaît et l'admet difficilement. L'épicentre de la tragédie du Darfour est parti d'un montage idéologique pensé et voulu par Idriss Déby et son entourage.
Pendant quatre ans, le régime tchadien et ses idéologues ont tissé et cousu ce problème avec ruse et cynisme jusqu'à monter des tribus et des ethnies entre elles.
Tout le long de la frontière Est du pays a été ensanglantée, des villages ont été brulés, des femmes violées, des enfants massacrés. Cette horreur a été planifiée pour émouvoir l'occident et accablé le soudan. Des ethnies au Tchad ont été armées par le régime pour commettre l'irréparable catastrophe de la guerre civile, et consolider le pouvoir vaille que vaille.
Les tchadiens dans leur quotidien ont vécu le spectre de la peur, de l'insécurité physique, morale et sociale sauf ceux qui font partie du clan. On chuchote sa hantise, on murmure son désarroi. A cette échelle d'anarchie la fameuse kermesse du désordre a atteint son paroxysme. Mais le tchadien éveillé n'a pas été dupé par la supercherie du moribond.
Tout le monde le sait, y compris dans l'observatoire de l'occident que pour régler le syndrome Darfour, et l'ecchymose qui sévit au Tchad, passent par le départ sans condition du régime Idriss Déby. La paix dans la sous région en dépend.
L'attitude belliqueuse depuis des mois du président tchadien, qui consisterait à indexer le soudan et banaliser sa rébellion est vaine. L'antilope à une stratégie d'attaque qui fait un bond plus loin, et fait semblant d'ignorer l'adversaire à coté ne tient pas. Lire la suite da la chronique libre de MAHAMAT ASSILECK HALATA ICI
Cette attitude a créée la tragédie du Darfour que tout le monde connaît et l'admet difficilement. L'épicentre de la tragédie du Darfour est parti d'un montage idéologique pensé et voulu par Idriss Déby et son entourage.
Pendant quatre ans, le régime tchadien et ses idéologues ont tissé et cousu ce problème avec ruse et cynisme jusqu'à monter des tribus et des ethnies entre elles.
Tout le long de la frontière Est du pays a été ensanglantée, des villages ont été brulés, des femmes violées, des enfants massacrés. Cette horreur a été planifiée pour émouvoir l'occident et accablé le soudan. Des ethnies au Tchad ont été armées par le régime pour commettre l'irréparable catastrophe de la guerre civile, et consolider le pouvoir vaille que vaille.
Les tchadiens dans leur quotidien ont vécu le spectre de la peur, de l'insécurité physique, morale et sociale sauf ceux qui font partie du clan. On chuchote sa hantise, on murmure son désarroi. A cette échelle d'anarchie la fameuse kermesse du désordre a atteint son paroxysme. Mais le tchadien éveillé n'a pas été dupé par la supercherie du moribond.
Tout le monde le sait, y compris dans l'observatoire de l'occident que pour régler le syndrome Darfour, et l'ecchymose qui sévit au Tchad, passent par le départ sans condition du régime Idriss Déby. La paix dans la sous région en dépend.
L'attitude belliqueuse depuis des mois du président tchadien, qui consisterait à indexer le soudan et banaliser sa rébellion est vaine. L'antilope à une stratégie d'attaque qui fait un bond plus loin, et fait semblant d'ignorer l'adversaire à coté ne tient pas. Lire la suite da la chronique libre de MAHAMAT ASSILECK HALATA ICI