"Cette enquête me sera remise lundi et je la rendrai publique immédiatement", a précisé le Premier ministre François Fillon lors des Questions au gouvernement à l'Assemblée nationale.
Dans un communiqué, Mme Lagarde précise que ce rapport précisera "le déroulement exact des faits, y compris après leur découverte par la direction de la banque et avant la diffusion de l'information au public, ainsi qu'une première appréciation sur la manière dont les contrôles internes de la banque ont fonctionné".
Commandé vendredi dernier par Matignon, le rapport "comprendra également des préconisations sur le renforcement des contrôles internes et externes de ce type d'opérations, ajoute la ministre qui précise avoir reçu dans la matinée le gouverneur de la Banque de France Christian Noyer, ainsi que Michel Prada et Gérard Rameix, respectivement président et secrétaire général de l'Autorité des marchés financiers (AMF), pour faire le point sur l'affaire.
Par ailleurs Christine Lagarde "dément formellement avoir été informée par qui que ce soit de l'existence d'une fraude à la Société générale avant mercredi 23 janvier 2008 à 8h". Ce n'est que lors d'un entretien téléphonique avec le président de la Société générale, Daniel Bouton, "que l'opération frauduleuse lui a été révélée".
"L'urgence, c'est de rétablir la confiance", a souligné le Premier ministre mardi. Pour cela, "il faut que la Société générale réussisse son augmentation de capital" et "que toute la lumière soit faite sur les dysfonctionnements qui ont conduit à des pertes aussi invraisemblables".
"La Société générale, c'est une grande banque française" et "le gouvernement entend que la Société générale reste une grande banque française", a souligné M. Fillon. AP
Dans un communiqué, Mme Lagarde précise que ce rapport précisera "le déroulement exact des faits, y compris après leur découverte par la direction de la banque et avant la diffusion de l'information au public, ainsi qu'une première appréciation sur la manière dont les contrôles internes de la banque ont fonctionné".
Commandé vendredi dernier par Matignon, le rapport "comprendra également des préconisations sur le renforcement des contrôles internes et externes de ce type d'opérations, ajoute la ministre qui précise avoir reçu dans la matinée le gouverneur de la Banque de France Christian Noyer, ainsi que Michel Prada et Gérard Rameix, respectivement président et secrétaire général de l'Autorité des marchés financiers (AMF), pour faire le point sur l'affaire.
Par ailleurs Christine Lagarde "dément formellement avoir été informée par qui que ce soit de l'existence d'une fraude à la Société générale avant mercredi 23 janvier 2008 à 8h". Ce n'est que lors d'un entretien téléphonique avec le président de la Société générale, Daniel Bouton, "que l'opération frauduleuse lui a été révélée".
"L'urgence, c'est de rétablir la confiance", a souligné le Premier ministre mardi. Pour cela, "il faut que la Société générale réussisse son augmentation de capital" et "que toute la lumière soit faite sur les dysfonctionnements qui ont conduit à des pertes aussi invraisemblables".
"La Société générale, c'est une grande banque française" et "le gouvernement entend que la Société générale reste une grande banque française", a souligné M. Fillon. AP
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