"Il faut que tout ceci s'arrête", a affirmé mercredi le ministre de l'Education Xavier Darcos après les nouvelles manifestations lycéennes de la veille, très importantes à Paris, contre les suppressions de postes.
Selon le ministre, qui campe sur ses positions, les syndicats lycéens savent "le danger qu'il y a à ce que 15 ou 20.000 lycéens circulent dans les rues deux fois par semaine". "Ils ont parfaitement conscience que ce n'est pas comme ça que nous ferons progresser les choses", a-t-il ajouté, tout en estimant que toutes ces manifestations "arrangent un certain nombre de personnes".
"On sait très bien comment ça peut finir, par un incident ou que sais-je encore", a-t-il fait valoir.
Tout en se défendant d'une logique comptable qui aurait conduit à la suppression des postes d'enseignants, Xavier Darcos a rappelé: "le président de la République a été élu sur un programme (...) c'est de réduire la dette. Et pour réduire la dette, il faut notamment réduire la voilure de la fonction publique en France".
"L'Education nationale c'est la moitié de la fonction publique. Nous ne pouvons pas faire comme si ce n'était pas le cas", a-t-il ajouté, estimant comme son devoir "de ne pas laisser aux générations futures le poids d'une dette".
Pour le ministre, "c'est une vieille fadaise idéologique que de croire qu'il faut sans arrêt continuer à augmenter les moyens pour que l'école marche mieux". "Depuis 30 ans", l'augmentation des moyens est resté sans effet, selon lui.
Source: news.yahoo.com
Selon le ministre, qui campe sur ses positions, les syndicats lycéens savent "le danger qu'il y a à ce que 15 ou 20.000 lycéens circulent dans les rues deux fois par semaine". "Ils ont parfaitement conscience que ce n'est pas comme ça que nous ferons progresser les choses", a-t-il ajouté, tout en estimant que toutes ces manifestations "arrangent un certain nombre de personnes".
"On sait très bien comment ça peut finir, par un incident ou que sais-je encore", a-t-il fait valoir.
Tout en se défendant d'une logique comptable qui aurait conduit à la suppression des postes d'enseignants, Xavier Darcos a rappelé: "le président de la République a été élu sur un programme (...) c'est de réduire la dette. Et pour réduire la dette, il faut notamment réduire la voilure de la fonction publique en France".
"L'Education nationale c'est la moitié de la fonction publique. Nous ne pouvons pas faire comme si ce n'était pas le cas", a-t-il ajouté, estimant comme son devoir "de ne pas laisser aux générations futures le poids d'une dette".
Pour le ministre, "c'est une vieille fadaise idéologique que de croire qu'il faut sans arrêt continuer à augmenter les moyens pour que l'école marche mieux". "Depuis 30 ans", l'augmentation des moyens est resté sans effet, selon lui.
Source: news.yahoo.com
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