Institutions: les principes de l'égalité hommes-femmes, du respect de la diversité, de l'intégration et de la bioéthique seront inscrits dans le préambule de la Constitution. Une Commission sera créée à cet effet, présidée par Simone Veil.
Patriotisme économique: face à la montée en puissance des fonds spéculatifs et des fonds souverains, la Caisse des dépôts (CDC) devra faire office d'"instrument de la politique de défense" des entreprises françaises.
Politique étrangère: la France se fera l'avocate de l'Allemagne, du Japon, du Brésil, de l'Inde et d'un pays africain pour qu'ils deviennent membres permanents du Conseil de sécurité dans le cadre de la réforme de l'ONU.
Croissance: une réflexion sera menée sur la mesure de la performance économique de la France, au-delà du seul Produit national brut (PNB). Une mission notamment confiée à deux prix Nobel, Amartya Sen et Joseph Stiglitz, le deuxième présidant un comité d'experts.
Immigration: la France devra aller "jusqu'au bout d'une politique fondée sur des quotas" qui devra être mise en œuvre "en fonction des capacités d'accueil et d'intégration".
Enseignement: lancement de dix "projets de rénovation" dans les universités pour lutter contre leur "délabrement". Par ailleurs, priorité donnée à l'école primaire, dont les difficultés sont "la cause principale des difficultés croissantes du collège".
Environnement: utilisation de la clause de sauvegarde sur les OGM si le Haut comité chargé d'examiner la question émet des "doutes sérieux" à leur sujet.
Pouvoir d'achat: le niveau de la participation et de l'intéressement aux résultats devra être fortement relevé (voire doublé ou triplé). Ces deux incitations devront pouvoir être étendues à toutes les entreprises, par exemple en instaurant un impôt sur les bénéfices différencié pour celles de moins de 50 salariés.
Source: Challenges.fr
Patriotisme économique: face à la montée en puissance des fonds spéculatifs et des fonds souverains, la Caisse des dépôts (CDC) devra faire office d'"instrument de la politique de défense" des entreprises françaises.
Politique étrangère: la France se fera l'avocate de l'Allemagne, du Japon, du Brésil, de l'Inde et d'un pays africain pour qu'ils deviennent membres permanents du Conseil de sécurité dans le cadre de la réforme de l'ONU.
Croissance: une réflexion sera menée sur la mesure de la performance économique de la France, au-delà du seul Produit national brut (PNB). Une mission notamment confiée à deux prix Nobel, Amartya Sen et Joseph Stiglitz, le deuxième présidant un comité d'experts.
Immigration: la France devra aller "jusqu'au bout d'une politique fondée sur des quotas" qui devra être mise en œuvre "en fonction des capacités d'accueil et d'intégration".
Enseignement: lancement de dix "projets de rénovation" dans les universités pour lutter contre leur "délabrement". Par ailleurs, priorité donnée à l'école primaire, dont les difficultés sont "la cause principale des difficultés croissantes du collège".
Environnement: utilisation de la clause de sauvegarde sur les OGM si le Haut comité chargé d'examiner la question émet des "doutes sérieux" à leur sujet.
Pouvoir d'achat: le niveau de la participation et de l'intéressement aux résultats devra être fortement relevé (voire doublé ou triplé). Ces deux incitations devront pouvoir être étendues à toutes les entreprises, par exemple en instaurant un impôt sur les bénéfices différencié pour celles de moins de 50 salariés.
Source: Challenges.fr
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