La présidente du MEDEF Laurence Parisot a salué vendredi "une très grande volonté pour la France" dans l'intervention de Nicolas Sarkozy la veille, l'interprétant comme "des signes positifs, encourageants" et "plein d'espoir pour les Français".
Selon la représentante du patronat, les "nouvelles générations" ont "raison" d'être "extraordinairement inquiètes sur l'avenir" et, "justement", M. Sarkozy leur a répondu qu'il engageait "des réformes pour pouvoir faire face à ces difficultés".
Ces réformes, "il y en a que je trouve bien, d'autre moins bien", a nuancé la présidente du MEDEF. "Ce que je sais, c'est que nous avançons", a-t-elle souligné.
Mme Parisot a dit également "apprécier" le fait que le président ait "attiré l'attention des téléspectateurs" sur le fait que "la France est en perte de compétitivité". Elle a également déclaré partager la vision de Nicolas Sarkozy sur le constat que "la France ne produit pas une quantité de travail suffisante".
Source: news.yahoo.com
Selon la représentante du patronat, les "nouvelles générations" ont "raison" d'être "extraordinairement inquiètes sur l'avenir" et, "justement", M. Sarkozy leur a répondu qu'il engageait "des réformes pour pouvoir faire face à ces difficultés".
Ces réformes, "il y en a que je trouve bien, d'autre moins bien", a nuancé la présidente du MEDEF. "Ce que je sais, c'est que nous avançons", a-t-elle souligné.
Mme Parisot a dit également "apprécier" le fait que le président ait "attiré l'attention des téléspectateurs" sur le fait que "la France est en perte de compétitivité". Elle a également déclaré partager la vision de Nicolas Sarkozy sur le constat que "la France ne produit pas une quantité de travail suffisante".
Source: news.yahoo.com
À lire également :
-
Nouveau tremblement de terre sur la Côte d’Azur : état des lieux
-
Comment recevoir les aides de fin d'année ? Prime de Noël, 13e mois, chèque énergie...
-
Cyclone : mobilisation pour secourir Mayotte ravagée
-
Nicolas Pernot choisi pour diriger le cabinet de François Bayrou à Matignon
-
Réunion des partis à l’Élysée : Emmanuel Macron exclut LFI et le RN