A quelques heures de l'ouverture du congrès du parti à Reims, ils ont déploré les "manoeuvres d'empêchement" des autres courants et regretté qu'ils n'aient pas répondu favorablement à l'offre de rassemblement qu'elle avait formulée.
"La détermination de Ségolène Royal est entière (...) Nous attendions parce que nous voulions que les autres appellent à la raison" et se rallient à la présidente de Poitou-Charentes, a dit Vincent Peillon sur France inter.
Il faisait allusion à Bertrand Delanoë, Martine Aubry et Benoît Hamon, arrivé derrière Ségolène Royal lors du vote des militants jeudi dernier.
"Je pense que sa décision est prise (...) Dans la journée, nous allons lui demander d'être candidate", a précisé le député européen.
Ségolène Royal est attendue dans l'après-midi à Reims, où les quatre courants internes doivent tenter de former une majorité solide pour prendre les rênes du parti après trois présidentielles perdues coup sur coup.
Dans la soirée, comme tous les autres courants, elle doit réunir les délégués de sa motion.
"Tout ce qui remonte des débats locaux, c'est qu'il y a un fort souhait pour qu'elle soit candidate elle-même" et non qu'elle favorise la candidature d'un lieutenant, souligne-t-on dans l'entourage de l'ancienne rivale de Nicolas Sarkozy.
"Ce sont les militants qui vont lui demander d'être candidate", a confirmé Vincent Peillon.
Sur France Info, Manuel Valls a évoqué des "débats artificiels" entretenus par les rivaux de Ségolène Royal pour lui faire barrage, notamment sur la question des alliances avec le centre.
"Quelle hypocrisie" quand d'autres dirigeants du PS ont fait alliance avec le MoDem de François Bayrou lors des municipales, a-t-il lancé.
A Reims, où les courants internes du PS doivent tenter de former une majorité, "nous n'allons pas inviter François Bayrou au coeur de nos débats tout de même!", s'est agacé le député-maire d'Evry.
Depuis la présidentielle, "cela fait 18 mois qu'on discute (au PS), 18 mois qu'on a organisé un système pour écarter Ségolène Royal et ses amis", a-t-il déploré. "Je ne doute pas un instant qu'elle soit candidate".
Source: Yahoo News
"La détermination de Ségolène Royal est entière (...) Nous attendions parce que nous voulions que les autres appellent à la raison" et se rallient à la présidente de Poitou-Charentes, a dit Vincent Peillon sur France inter.
Il faisait allusion à Bertrand Delanoë, Martine Aubry et Benoît Hamon, arrivé derrière Ségolène Royal lors du vote des militants jeudi dernier.
"Je pense que sa décision est prise (...) Dans la journée, nous allons lui demander d'être candidate", a précisé le député européen.
Ségolène Royal est attendue dans l'après-midi à Reims, où les quatre courants internes doivent tenter de former une majorité solide pour prendre les rênes du parti après trois présidentielles perdues coup sur coup.
Dans la soirée, comme tous les autres courants, elle doit réunir les délégués de sa motion.
"Tout ce qui remonte des débats locaux, c'est qu'il y a un fort souhait pour qu'elle soit candidate elle-même" et non qu'elle favorise la candidature d'un lieutenant, souligne-t-on dans l'entourage de l'ancienne rivale de Nicolas Sarkozy.
"Ce sont les militants qui vont lui demander d'être candidate", a confirmé Vincent Peillon.
Sur France Info, Manuel Valls a évoqué des "débats artificiels" entretenus par les rivaux de Ségolène Royal pour lui faire barrage, notamment sur la question des alliances avec le centre.
"Quelle hypocrisie" quand d'autres dirigeants du PS ont fait alliance avec le MoDem de François Bayrou lors des municipales, a-t-il lancé.
A Reims, où les courants internes du PS doivent tenter de former une majorité, "nous n'allons pas inviter François Bayrou au coeur de nos débats tout de même!", s'est agacé le député-maire d'Evry.
Depuis la présidentielle, "cela fait 18 mois qu'on discute (au PS), 18 mois qu'on a organisé un système pour écarter Ségolène Royal et ses amis", a-t-il déploré. "Je ne doute pas un instant qu'elle soit candidate".
Source: Yahoo News
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