L’Alliance des forces du progrès (Afp) de Moustapha Niasse révèle, dans un communiqué de son Bureau politique en date du 16 décembre, que « l’Agence française de Développement (AFD) a assorti son prêt d’un montant de quelque 80 milliards à notre pays, de directives précises relatives d’une part, à un accord avec le FMI dans le cadre de l’Instrument de Soutien à la Politique Economique (ISPE), d’autre part, au paiement de la dette intérieure qui est en train d’asphyxier nombre d’entreprises du secteur privé.
Cette situation morose ne semble guère préoccuper les tenants du pouvoir, toujours imperméables aux conséquences sociales subies par les Sénégalais, et très attentifs à leurs privilèges indus ». Preuve, « L’un des premiers réflexes du régime de Me Wade est de gaspiller l’argent public, dans un publi-reportage dont le coût est de 300 millions CFA ».
Et pour ce qui est de la marche des populations de Guédiawaye conduite par les Imams, pour protester contre les factures élevées de la SENELEC, le gouvernement répond par la « danse du ventre de thuriféraires abusivement parés de manteaux de Parlementaires. L’opération ayant échoué, on revient par la fenêtre en proposant des mesures superficielles, qui ne règlent pas les problèmes des populations démunies. Le pays entier est en train de faire les frais des errements du régime en place qui, depuis 2000 est incapable de trouver une solution au dossier de l’énergie qu’il a, au contraire, rendu plus épineux », relève le communiqué.
La manipulation et la ruse, disent-ils, se manifestent encore à travers la création de nouvelles structures budgétivores comme l’Office pour l’Emploi des Jeunes de Banlieues et l’Agence Nationale de la Grande Muraille Verte. « Une fois de plus, des fonds publics vont être dilapidés en faveur d’une clientèle qui a déjà englouti plus de 6 milliards du Fonds National pour la Jeunesse, sans aucun impact économique et social significatif.
Si le régime de Me Wade ne contrôle pas son appétit gargantuesque, l’IPRES risque fort d’être la prochaine victime des prédateurs, comme naguère les Industries Chimiques du Sénégal (ICS), qui ont encore du mal à renaître de leurs cendres ». Et d’ajouter : « La dénonciation par la presse nationale de ces manquements graves est une œuvre patriotique, qui ne devrait pas donner lieu à une nouvelle intervention intempestive de la DIC, véritable police politique de l’ère néfaste des Wade, police politique qui n’a rien à envier à celles d’hier, sous d’autres cieux. » En effet, c’est au moment où les difficultés de tous ordres s’amoncellent, fait remarquer l’Afp, le gouvernement de Me Wade, continue de penser que la manipulation et la ruse constituent la panacée pour conjurer les périls.
« Aujourd’hui, les réunions et les déclarations se succèdent sans que des solutions soient apportées aux innombrables maux des populations et du pays. Du fait de l’impéritie et de l’irresponsabilité du régime des pseudos libéraux, le Sénégal est devenu un corps anémié, espace de souffrances multiples, constat confirmé par le rapport de la Banque Africaine de Développement (BAD) et les réactions d’autres partenaires au développement qui se sont empressés de venir au chevet du grand malade, naturellement avec leurs conditionnalités », souligne la source.
Les camarades de Moustapha Niasse parlent d’errements du régime de Wade, illustrés, soutiennent-ils, « par exemple, par la gestion scandaleuse du processus électoral qui annonce, dans l’esprit des tenants du pouvoir, une nouvelle mascarade sans coup férir. Les modifications éhontées du code électoral, sans aucune concertation avec les partis politiques légalement constitués renseignent sur la mentalité des fraudeurs zélés qui se recroquevillent pour changer le mode de scrutin, pour confectionner leur fichier piégé et une carte électorale secrète, dont le seul objet est de satisfaire les intérêts d’un régime à qui le peuple a clairement et définitivement tourné le dos ».
C’est la raison pour laquelle le Bureau politique de l’AFP engage les responsables et les militants à la base à « participer activement à la lutte contre la fraude, pour exiger des élections libres, transparentes et sincères ».
Source: Rewmi
Cette situation morose ne semble guère préoccuper les tenants du pouvoir, toujours imperméables aux conséquences sociales subies par les Sénégalais, et très attentifs à leurs privilèges indus ». Preuve, « L’un des premiers réflexes du régime de Me Wade est de gaspiller l’argent public, dans un publi-reportage dont le coût est de 300 millions CFA ».
Et pour ce qui est de la marche des populations de Guédiawaye conduite par les Imams, pour protester contre les factures élevées de la SENELEC, le gouvernement répond par la « danse du ventre de thuriféraires abusivement parés de manteaux de Parlementaires. L’opération ayant échoué, on revient par la fenêtre en proposant des mesures superficielles, qui ne règlent pas les problèmes des populations démunies. Le pays entier est en train de faire les frais des errements du régime en place qui, depuis 2000 est incapable de trouver une solution au dossier de l’énergie qu’il a, au contraire, rendu plus épineux », relève le communiqué.
La manipulation et la ruse, disent-ils, se manifestent encore à travers la création de nouvelles structures budgétivores comme l’Office pour l’Emploi des Jeunes de Banlieues et l’Agence Nationale de la Grande Muraille Verte. « Une fois de plus, des fonds publics vont être dilapidés en faveur d’une clientèle qui a déjà englouti plus de 6 milliards du Fonds National pour la Jeunesse, sans aucun impact économique et social significatif.
Si le régime de Me Wade ne contrôle pas son appétit gargantuesque, l’IPRES risque fort d’être la prochaine victime des prédateurs, comme naguère les Industries Chimiques du Sénégal (ICS), qui ont encore du mal à renaître de leurs cendres ». Et d’ajouter : « La dénonciation par la presse nationale de ces manquements graves est une œuvre patriotique, qui ne devrait pas donner lieu à une nouvelle intervention intempestive de la DIC, véritable police politique de l’ère néfaste des Wade, police politique qui n’a rien à envier à celles d’hier, sous d’autres cieux. » En effet, c’est au moment où les difficultés de tous ordres s’amoncellent, fait remarquer l’Afp, le gouvernement de Me Wade, continue de penser que la manipulation et la ruse constituent la panacée pour conjurer les périls.
« Aujourd’hui, les réunions et les déclarations se succèdent sans que des solutions soient apportées aux innombrables maux des populations et du pays. Du fait de l’impéritie et de l’irresponsabilité du régime des pseudos libéraux, le Sénégal est devenu un corps anémié, espace de souffrances multiples, constat confirmé par le rapport de la Banque Africaine de Développement (BAD) et les réactions d’autres partenaires au développement qui se sont empressés de venir au chevet du grand malade, naturellement avec leurs conditionnalités », souligne la source.
Les camarades de Moustapha Niasse parlent d’errements du régime de Wade, illustrés, soutiennent-ils, « par exemple, par la gestion scandaleuse du processus électoral qui annonce, dans l’esprit des tenants du pouvoir, une nouvelle mascarade sans coup férir. Les modifications éhontées du code électoral, sans aucune concertation avec les partis politiques légalement constitués renseignent sur la mentalité des fraudeurs zélés qui se recroquevillent pour changer le mode de scrutin, pour confectionner leur fichier piégé et une carte électorale secrète, dont le seul objet est de satisfaire les intérêts d’un régime à qui le peuple a clairement et définitivement tourné le dos ».
C’est la raison pour laquelle le Bureau politique de l’AFP engage les responsables et les militants à la base à « participer activement à la lutte contre la fraude, pour exiger des élections libres, transparentes et sincères ».
Source: Rewmi
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