Benoît Hamon, porte-parole du PS, a rallumé la mèche en dénonçant la "rage" des proches de la présidente de Poitou-Charentes, qui a d'ores et déjà pris date pour l'élection présidentielle de 2012.
Les "royalistes" ont "dans le sang ce poison de la division dans des proportions que l'on n'a jamais connues auparavant", déclare-t-il dans l'édition de janvier du mensuel Bretons.
"Je vois par exemple tous les jours, sur Dailymotion ou sur des blogs, des partisans de Ségolène Royal mettre en ligne des films, des podcasts ou de simples commentaires juste pour nous taper dessus. Leur rage se focalise contre nous et pas du tout contre la droite", déplore Benoît Hamon.
La réplique est venue samedi de deux membres du cercle rapproché de Ségolène Royal, Jean-Louis Bianco, son ancien directeur de campagne, et Jean-Pierre Mignard, président de Désirs d'avenir.
Ils accusent Benoît Hamon de succomber à une "stratégie de la tension" et soulignent leur volonté d'unité au sein du parti.
"Chacun se souvient que lors du congrès de Reims, notre motion arrivée en tête a été marginalisée, contrairement à l'usage politique. Nous nous sommes pourtant inclinés au nom de l'unité", écrivent-ils dans un communiqué publié sur le site internet de Désirs d'avenir, l'association qui soutient Ségolène Royal.
"Lors de l'élection au premier secrétariat, le départage s'est fait au profit de la majorité du conseil national, dans l'évitement du vote indéchiffrable des militants. Nous nous sommes encore inclinés, toujours au nom de l'unité", poursuivent-ils.
"Nous participons au bureau national, et comme jamais, à toutes les instances fédérales du parti. Que faut-il faire de plus pour être unitaires aux yeux du porte-parole? Se taire ou disparaître? Elégante alternative", commentent Jean-Louis Bianco et Jean-Pierre Mignard.
"Alors soit Benoît Hamon n'est pas informé de notre grande patience. Soit il veut l'éprouver plus encore en soufflant sur les braises", lancent-ils.
Source. Yahoo News
Les "royalistes" ont "dans le sang ce poison de la division dans des proportions que l'on n'a jamais connues auparavant", déclare-t-il dans l'édition de janvier du mensuel Bretons.
"Je vois par exemple tous les jours, sur Dailymotion ou sur des blogs, des partisans de Ségolène Royal mettre en ligne des films, des podcasts ou de simples commentaires juste pour nous taper dessus. Leur rage se focalise contre nous et pas du tout contre la droite", déplore Benoît Hamon.
La réplique est venue samedi de deux membres du cercle rapproché de Ségolène Royal, Jean-Louis Bianco, son ancien directeur de campagne, et Jean-Pierre Mignard, président de Désirs d'avenir.
Ils accusent Benoît Hamon de succomber à une "stratégie de la tension" et soulignent leur volonté d'unité au sein du parti.
"Chacun se souvient que lors du congrès de Reims, notre motion arrivée en tête a été marginalisée, contrairement à l'usage politique. Nous nous sommes pourtant inclinés au nom de l'unité", écrivent-ils dans un communiqué publié sur le site internet de Désirs d'avenir, l'association qui soutient Ségolène Royal.
"Lors de l'élection au premier secrétariat, le départage s'est fait au profit de la majorité du conseil national, dans l'évitement du vote indéchiffrable des militants. Nous nous sommes encore inclinés, toujours au nom de l'unité", poursuivent-ils.
"Nous participons au bureau national, et comme jamais, à toutes les instances fédérales du parti. Que faut-il faire de plus pour être unitaires aux yeux du porte-parole? Se taire ou disparaître? Elégante alternative", commentent Jean-Louis Bianco et Jean-Pierre Mignard.
"Alors soit Benoît Hamon n'est pas informé de notre grande patience. Soit il veut l'éprouver plus encore en soufflant sur les braises", lancent-ils.
Source. Yahoo News
À lire également :
-
Nouveau tremblement de terre sur la Côte d’Azur : état des lieux
-
Comment recevoir les aides de fin d'année ? Prime de Noël, 13e mois, chèque énergie...
-
Cyclone : mobilisation pour secourir Mayotte ravagée
-
Nicolas Pernot choisi pour diriger le cabinet de François Bayrou à Matignon
-
Réunion des partis à l’Élysée : Emmanuel Macron exclut LFI et le RN