"Nous devons respecter le travail que nous faisons entre partenaires sociaux (...) Il y a à peine un mois un accord a été conclu, ce sont les termes de cet accord qui doivent être respectés aujourd'hui", a-t-elle demandé.
"Nous avons très récemment avec notamment la CFDT et la CGT adopté une position commune sur la représentativité et au sein de cette position commune, il y avait des dispositifs d'aménagement de la durée du travail", a-t-elle rappelé.
Mercredi dans le quotidien Les Echos, le ministre du Travail Xavier Bertrand déclare à ce sujet avoir "prévenu les partenaires sociaux que nous irions plus loin". "Et, aujourd'hui, nous l'assumons pleinement en le faisant dans une clarté totale."
Or, les leaders de la CGT et de la CFDT, Bernard Thibault et François Chérèque, avaient mis en garde "solennellement" le gouvernement lundi, dans une déclaration commune, contre "l'adoption en catimini" de "mesures de déréglementation du temps de travail" sur les 35 heures.
Ils lui ont demandé de s'en tenir, dans la future loi sur la représentativité syndicale, à la "position commune" conclue en avril entre leurs deux organisations, le Medef et la CGPME, qui "exclut toute autre position" qu'un dépassement à certaines conditions du contingent annuel d'heures supplémentaires.
Mercredi, Laurence Parisot a rappelé que pour le Medef, "il faut abandonner la durée légale du travail pour définir la durée du travail entreprise par entreprise par accord entre représentants du personnel et direction de l'entreprise".
Les heures supplémentaires seraient dans ce cas toujours possibles, à partir du seuil défini et "à un tarif que vous pouvez également discuter entre direction de l'entreprise et représentants du personnel", selon elle.
Source: news.yahoo.com
"Nous avons très récemment avec notamment la CFDT et la CGT adopté une position commune sur la représentativité et au sein de cette position commune, il y avait des dispositifs d'aménagement de la durée du travail", a-t-elle rappelé.
Mercredi dans le quotidien Les Echos, le ministre du Travail Xavier Bertrand déclare à ce sujet avoir "prévenu les partenaires sociaux que nous irions plus loin". "Et, aujourd'hui, nous l'assumons pleinement en le faisant dans une clarté totale."
Or, les leaders de la CGT et de la CFDT, Bernard Thibault et François Chérèque, avaient mis en garde "solennellement" le gouvernement lundi, dans une déclaration commune, contre "l'adoption en catimini" de "mesures de déréglementation du temps de travail" sur les 35 heures.
Ils lui ont demandé de s'en tenir, dans la future loi sur la représentativité syndicale, à la "position commune" conclue en avril entre leurs deux organisations, le Medef et la CGPME, qui "exclut toute autre position" qu'un dépassement à certaines conditions du contingent annuel d'heures supplémentaires.
Mercredi, Laurence Parisot a rappelé que pour le Medef, "il faut abandonner la durée légale du travail pour définir la durée du travail entreprise par entreprise par accord entre représentants du personnel et direction de l'entreprise".
Les heures supplémentaires seraient dans ce cas toujours possibles, à partir du seuil défini et "à un tarif que vous pouvez également discuter entre direction de l'entreprise et représentants du personnel", selon elle.
Source: news.yahoo.com
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