Arrêté à la mi-décembre dans les faubourgs de cette ville de l'est du pays, l'ancien commandant Ahsan-ul-Haq, âgé d'une soixantaine d'années, serait un proche du chef moudjahid afghan Younis Khalis, qui s'était illustré dans la lutte contre l'occupant soviétique dans les années 1980.
L'ancien officier aurait eu plus tard partie liée avec les taliban et aurait dirigé en Afghanistan sous leur régime, renversé en 2001, un camp d'entraînement d'activistes musulmans.
"Nous avons récupéré des explosifs ainsi que des ceintures et vestes d'exposifs utilisées pour des attentats suicide dans sa maison jouxtant une madrassa" (école coranique), a-t-on précisé de source proche des services de sécurité pakistanais.
Sur la base des informations fournies par Haq, cinq autres activistes ont été arrêtés à Sargodha, théâtre le 1er novembre de l'attentat suicide à la moto contre un car de l'armée de l'air pakistanaise.
"Tous ont avoué être derrière cet attentat et projetaient d'autres actions similaires, y compris contre des hommes politiques", a-t-on ajouté, de même source.
Environ 400 personnes, dont de nombreux membres des forces de sécurité, ont été victimes d'attentats suicide ces derniers mois au Pakistan.
Parmi elles figure notamment l'ancien Premier ministre Benazir Bhutto, assassinée le 27 décembre à Rawalpindi. Sa mort a été imputée par le gouvernement à Baitullah Mehsud, un chef activiste lié à Al Qaïda basé dans la région insoumise du Sud-Waziristan. L'intéressé a démenti toute implication.
Yahoo.fr
L'ancien officier aurait eu plus tard partie liée avec les taliban et aurait dirigé en Afghanistan sous leur régime, renversé en 2001, un camp d'entraînement d'activistes musulmans.
"Nous avons récupéré des explosifs ainsi que des ceintures et vestes d'exposifs utilisées pour des attentats suicide dans sa maison jouxtant une madrassa" (école coranique), a-t-on précisé de source proche des services de sécurité pakistanais.
Sur la base des informations fournies par Haq, cinq autres activistes ont été arrêtés à Sargodha, théâtre le 1er novembre de l'attentat suicide à la moto contre un car de l'armée de l'air pakistanaise.
"Tous ont avoué être derrière cet attentat et projetaient d'autres actions similaires, y compris contre des hommes politiques", a-t-on ajouté, de même source.
Environ 400 personnes, dont de nombreux membres des forces de sécurité, ont été victimes d'attentats suicide ces derniers mois au Pakistan.
Parmi elles figure notamment l'ancien Premier ministre Benazir Bhutto, assassinée le 27 décembre à Rawalpindi. Sa mort a été imputée par le gouvernement à Baitullah Mehsud, un chef activiste lié à Al Qaïda basé dans la région insoumise du Sud-Waziristan. L'intéressé a démenti toute implication.
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