Une équipe de chercheurs suédois a annoncé mercredi avoir découvert une protéine jouant un rôle fondamental dans la formation de nouvelles cellules graisseuses, ouvrant ainsi la voie, entre autres, à un nouveau traitement de l'obésité.
Les travaux, basés sur des cultures de cellules humaines et des souris, ont par ailleurs montré que les patients souffrant d'obésité présentaient des niveaux excessifs de cette protéine.
Alors que les cellules graisseuses ont, en cas d'obésité maligne, une taille importante, l'étude a montré que la protéine TRAP, sur des souris, "donnait lieu à plus de cellules graisseuses bénignes de taille et de métabolisme normaux".
"La découverte peut (...) déboucher sur de nouvelles façons de traiter l'obésité basée sur l'inhibition de l'effet de la protéine" en question, a expliqué le professeur Göran Andersson, à la tête de l'équipe de chercheurs, cité dans le communiqué.
En outre, "cette protéine peut se révéler utile dans le traitement d'états impliquant la cachexie (perte de poids excessive et atrophie musculaire) comme dans celui de certaines maladies cancéreuses", a-t-il ajouté.
L'étude a duré environ quatre ans et a porté sur quatorze femmes atteintes d'obésité, a précisé à l'AFP M. Andersson.
Yahoo.fr
Les travaux, basés sur des cultures de cellules humaines et des souris, ont par ailleurs montré que les patients souffrant d'obésité présentaient des niveaux excessifs de cette protéine.
Alors que les cellules graisseuses ont, en cas d'obésité maligne, une taille importante, l'étude a montré que la protéine TRAP, sur des souris, "donnait lieu à plus de cellules graisseuses bénignes de taille et de métabolisme normaux".
"La découverte peut (...) déboucher sur de nouvelles façons de traiter l'obésité basée sur l'inhibition de l'effet de la protéine" en question, a expliqué le professeur Göran Andersson, à la tête de l'équipe de chercheurs, cité dans le communiqué.
En outre, "cette protéine peut se révéler utile dans le traitement d'états impliquant la cachexie (perte de poids excessive et atrophie musculaire) comme dans celui de certaines maladies cancéreuses", a-t-il ajouté.
L'étude a duré environ quatre ans et a porté sur quatorze femmes atteintes d'obésité, a précisé à l'AFP M. Andersson.
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