"Je me rendrai donc en Syrie les 3 et 4 septembre", a déclaré le président français devant les ambassadeurs français réunis à l'Elysée. Il s'agit, selon lui, de "poursuivre (le) dialogue nécessaire", qui a repris avec Damas depuis que la Syrie a accepté de faciliter l'élection d'un nouveau président au Liban.
Refusant que se poursuive "l'isolement" de la Syrie, M. Sarkozy a expliqué qu'il avait préféré s'engager "dans une autre voie, plus risquée c'est vrai, mais plus prometteuse: celle d'un dialogue dans la clarté débouchant sur des progrès tangibles".
L'ancien président Jacques Chirac avait décidé le gel des relations de haut niveau avec la Syrie après l'assassinat de son ami l'ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri. La Syrie a été accusé d'être derrière cet attentat, ce qu'elle a toujours démenti.
La dernière visite d'un chef d'Etat français à Damas, celle du président Chirac, remonte à 2002.
Selon M. Sarkozy, les entretiens avec le président syrien Bachar Al Assad, le 12 juillet à Paris, ont "permis d'enregistrer deux nouvelles avancées: l'annonce solennelle de l'établissement de relations diplomatiques, pour la première fois dans l'histoire de ces deux pays, entre Beyrouth et Damas", ainsi que "la décision de la Syrie de voir, le moment venu, la France co-parrainer avec les Etats-Unis la négociation directe syro-israélienne comme la mise en oeuvre de l'accord de paix qui en résultera, y compris pour les arrangements de sécurité".
"Là encore, la relation de confiance restaurée avec l'autre partenaire de la paix, Israël, comme avec les Etats-Unis, a joué un rôle majeur: c'est aussi parce que la Syrie sait que nous avons désormais les meilleurs rapports avec ces deux pays que Damas a voulu voir la France assumer, le moment venu, cette responsabilité sans précédent", a-t-il affirmé.
Source: Yahoo News
Refusant que se poursuive "l'isolement" de la Syrie, M. Sarkozy a expliqué qu'il avait préféré s'engager "dans une autre voie, plus risquée c'est vrai, mais plus prometteuse: celle d'un dialogue dans la clarté débouchant sur des progrès tangibles".
L'ancien président Jacques Chirac avait décidé le gel des relations de haut niveau avec la Syrie après l'assassinat de son ami l'ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri. La Syrie a été accusé d'être derrière cet attentat, ce qu'elle a toujours démenti.
La dernière visite d'un chef d'Etat français à Damas, celle du président Chirac, remonte à 2002.
Selon M. Sarkozy, les entretiens avec le président syrien Bachar Al Assad, le 12 juillet à Paris, ont "permis d'enregistrer deux nouvelles avancées: l'annonce solennelle de l'établissement de relations diplomatiques, pour la première fois dans l'histoire de ces deux pays, entre Beyrouth et Damas", ainsi que "la décision de la Syrie de voir, le moment venu, la France co-parrainer avec les Etats-Unis la négociation directe syro-israélienne comme la mise en oeuvre de l'accord de paix qui en résultera, y compris pour les arrangements de sécurité".
"Là encore, la relation de confiance restaurée avec l'autre partenaire de la paix, Israël, comme avec les Etats-Unis, a joué un rôle majeur: c'est aussi parce que la Syrie sait que nous avons désormais les meilleurs rapports avec ces deux pays que Damas a voulu voir la France assumer, le moment venu, cette responsabilité sans précédent", a-t-il affirmé.
Source: Yahoo News
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